Transcription de la vidéo
Dans cette vidéo, nous allons apprendre comment représenter graphiquement des
fonctions affines.
Imaginez que nous ayons employé un jardinier, sans doute pour gérer une situation
liée à des arbustes. Nous savons que le jardinier facture un prix fixe de 10 dollars plus 5 dollars par
heure pour ses services. Le montant total que le jardinier facture est alors fonction du nombre dâheures de
travail. Sans connaĂźtre le nombre exact dâheures quâil est susceptible de travailler, nous
pouvons Ă©tablir une Ă©quation affine qui peut ĂȘtre utilisĂ©e pour prĂ©dire le coĂ»t
total quel que soit le temps de travail. En utilisant đ„ pour reprĂ©senter le nombre total dâheures passĂ©es Ă travailler et đŠ
pour reprĂ©senter le coĂ»t total en dollars, lâĂ©quation affine est đŠ Ă©gale 10 plus
cinq đ„. La reprĂ©sentation graphique de cette Ă©quation est reprĂ©sentĂ©e ici. Gardant cela Ă lâesprit, essayons de formaliser certains des termes que nous avons
utilisĂ© jusquâici.
Lorsquâune relation associe exactement une sortie Ă une entrĂ©e donnĂ©e, on appelle
cela une fonction. Et si la représentation graphique de cette fonction est une droite non verticale,
comme dans lâexemple prĂ©cĂ©dent, cette fonction est dite affine. Dans le cas du montant que le jardinier facture, la fonction affine peut ĂȘtre
reprĂ©sentĂ©e par đ de đ„ Ă©gale 10 plus cinq đ„. đ de đ„ est lâimage, et đ„ est la variable, câest-Ă -dire lâantĂ©cĂ©dent de la
fonction. Lâensemble des antĂ©cĂ©dents est appelĂ© lâensemble de dĂ©finition de la fonction, tandis
que lâensemble des images possibles est appelĂ© lâensemble image. Et pour une fonction affine, lâensemble de dĂ©finition et lâensemble image sont tout
simplement lâensemble des nombres rĂ©els.
Puisque đ„ est lâentrĂ©e de la fonction, la valeur de la fonction pour un certain
nombre peut ĂȘtre trouvĂ©e en substituant ce nombre Ă la variable đ„. Par exemple, sâil travaille pendant huit heures, le coĂ»t total du jardinier est
dĂ©terminĂ© en remplaçant đ„ par huit. Et la sortie est la valeur de đ de huit. Câest 10 plus cinq fois huit, ce qui vaut 50. Ainsi, nous crĂ©ons un couple ordonnĂ©, qui est đ„, đ de đ„. Ce couple ordonnĂ© est un point sur la reprĂ©sentation graphique de la fonction. Ainsi, en calculant la valeur de deux ou plusieurs couples ordonnĂ©s, nous pouvons
construire la reprĂ©sentation graphique dâune fonction affine. Faisons-en la dĂ©monstration dans notre premier exemple.
ConsidĂ©rons la fonction đ de đ„ Ă©gale huit đ„ moins 11. Remplissez le tableau. Identifiez les trois points qui se trouvent sur la droite đŠ Ă©gale huit đ„ moins
11.
Rappelez-vous, étant donné une fonction, la valeur de cette fonction pour un certain
nombre peut ĂȘtre trouvĂ©e en substituant ce nombre Ă la variable. Dans ce cas, la variable, câest đ„. Nous voyons dans le tableau que nous allons trouver la valeur de la fonction lorsque
đ„ est Ă©gal Ă moins un, lorsque đ„ est Ă©gal Ă zĂ©ro et lorsque đ„ est Ă©gal Ă un. Commençons donc par poser đ„ Ă©gal moins un. Nous allons substituer moins un dans la fonction. On remplace đ„ par moins un, et nous trouvons que la valeur de la fonction en ce
point est đ de moins un Ă©gale huit fois moins un moins 11. Câest moins huit moins 11, ce qui vaut tout simplement moins 19. Nous avons donc rempli la premiĂšre colonne de notre tableau. Lorsque đ„ vaut moins un, đŠ, qui est Ă©gal Ă đ de đ„, vaut moins 19.
Nous allons maintenant passer Ă đ„ Ă©gal Ă zĂ©ro. Lorsque đ„ est Ă©gal Ă zĂ©ro, la valeur de la fonction đ de zĂ©ro est huit fois zĂ©ro
moins 11 ou zĂ©ro moins 11, ce qui vaut moins 11. Et donc đ de zĂ©ro est Ă©gal Ă moins 11, ce qui nous permet de remplir la deuxiĂšme
colonne de notre tableau. Pour complĂ©ter la troisiĂšme colonne, nous allons substituer un Ă đ„. Cela nous donne đ de un, qui vaut huit fois un moins 11 ou huit moins 11, ce qui
vaut moins trois. Nous avons donc complété notre tableau. Les trois valeurs sont moins 19, moins 11 et moins trois.
On remarque quâil existe un motif qui se rĂ©pĂšte dans les diffĂ©rences entre chaque
valeur de la fonction. La valeur de la fonction augmente de huit Ă chaque fois. Ce nâest pas un accident. Ătant donnĂ© des valeurs entiĂšres consĂ©cutives pour đ„, nous devrions remarquer que
les valeurs correspondantes de la fonction augmentent de façon constante.
Maintenant, on nous demande Ă©galement dâidentifier les trois points du graphique qui
se trouvent sur la droite đŠ Ă©gale huit đ„ moins 11. En complĂ©tant le tableau de valeurs, nous avons produit des couples ordonnĂ©s, qui
sont, en fait, des coordonnées sur le graphique de cette fonction. Le premier couple est moins 1, 19. Le second est zéro, moins 11. Et le troisiÚme couple, est un, moins trois.
Si nous les représentons sur notre graphique, nous verrons avec quels points ils
coĂŻncident. Moins un, moins 19, nous pouvons voir sur notre graphique que cela coĂŻncide avec le
point marquĂ© đŒ. ZĂ©ro, moins 11 coĂŻncide avec le point đ». Et un, moins trois coĂŻncide avec le point đș. Bien que cela ne soit pas explicitement demandĂ© dans cet exemple, nous pouvons tracer
une droite qui passe par ces trois points. Et ainsi nous avons la droite reprĂ©sentant la fonction đ de đ„ Ă©gale huit đ„ moins
11.
Et nous avons terminĂ©. Les valeurs indiquĂ©es dans notre tableau sont moins 19, moins 11 et moins trois. Et les trois points qui se trouvent sur cette droite sont đŒ, đ» et đș,
respectivement.
Dans cet exemple, nous avons montrĂ© comment trouver lâimage dâune fonction en
fonction de son expression et cela nous a permis de dessiner sa représentation
graphique. Dans le prochain exemple, nous utiliserons des valeurs connues pour identifier la
reprĂ©sentation graphique dâune fonction affine, puis nous utiliserons la
représentation graphique pour identifier toutes les valeurs inconnues.
Le tableau suivant reprĂ©sente les valeurs dâune fonction affine Laquelle des figure suivantes reprĂ©sente cette droite? Trouver les valeurs de đ et de đ. Ăcrire lâĂ©quation de la droite sous la forme đ de đ„ Ă©gale đđ„ plus đ.
Rappelez-vous que lorsque nous créons un tableau de valeurs pour une fonction affine,
nous créons essentiellement un groupe de couples ordonnés. Et chaque couple ordonné est un point sur la droite représentative de la
fonction. Nous avons ici seulement deux couples ordonnĂ©s complets. Le premier a une valeur đ„ de zĂ©ro et une valeur đŠ de un. Donc, le couple ordonnĂ© est zĂ©ro, un. Le second a une valeur đ„ de un et une valeur đŠ de trois, donc le couple est un,
trois. Et en fait, bien que ce soit une bonne pratique dâĂ©crire plus de deux couples
ordonnés, deux couples ordonnés suffisent pour identifier ou tracer la
reprĂ©sentation graphique dâune fonction affine.
Commençons par tracer le point de coordonnées zéro, un sur chacune des figures. Nous voyons que nous avons déjà seulement deux droites qui satisfont ces
coordonnées. Ce sont celles des figures (A) et (E). Pour pouvoir identifier laquelle de ces courbes représente la droite, nous allons
positionner le point de coordonnĂ©es un, trois. Ainsi, nous voyons que nous pouvons Ă©galement ignorer la figure (A). Et donc la figure(E) est la reprĂ©sentation graphique de notre fonction affine. Nous pouvons maintenant utiliser cette figure pour trouver les valeurs de đ et de
đ.
On voit dans le tableau que đ est la valeur de đŠ qui correspond Ă une valeur đ„ de
deux. Nous pouvons donc tracer un segment vertical Ă partir de đ„ Ă©gale deux jusquâĂ
atteindre la droite, puis un segment horizontal jusquâĂ atteindre lâaxe des đŠ. Ainsi, nous trouvons que lâimage de deux est cinq, donc đ est Ă©gal Ă cinq. RĂ©pĂ©tons cela pour dĂ©terminer la valeur de đ. Cette fois, lâabscisse đ„ est trois. Nous dessinons donc un segment vertical Ă partir de trois jusquâĂ atteindre la
droite, puis un segment horizontal jusquâĂ ce que nous touchions lâaxe des đŠ. Il nây a pas de valeur ici, mais câest une Ă©chelle assez simple. Chaque grand carrĂ© reprĂ©sente un, donc đ doit ĂȘtre Ă©gal Ă sept. Et donc les valeurs de đ et de đ sont respectivement cinq et sept.
La derniĂšre question nous demande dâĂ©crire lâĂ©quation de la droite. Et ce sous la forme đ de đ„ Ă©gale đđ„ plus đ. En dâautres termes, nous devons relier chaque valeur de đ„ Ă chaque valeur de đŠ. Un couple de valeurs judicieux Ă choisir serait lorsque đ„ est Ă©gal Ă zĂ©ro. Lorsque đ„ est Ă©gal Ă zĂ©ro, notre fonction đ de đ„ Ă©gale đđ„ plus đ est đ de
zĂ©ro, ce qui est Ă©gal Ă đ fois zĂ©ro plus đ. đ fois zĂ©ro est zĂ©ro. Nous voyons donc que đ de zĂ©ro est Ă©gal Ă đ. Mais bien sĂ»r, đ de zĂ©ro est notre sortie, qui dans ce cas a une valeur de un. On peut donc dire que đ doit ĂȘtre Ă©gal Ă un. Et donc lâĂ©quation de notre droite sera de la forme đ de đ„ Ă©gale đđ„ plus un.
Maintenant que nous avons la valeur de đ, utilisons le deuxiĂšme couple pour trouver
la valeur de đ. En substituant đ„ Ă©gal un dans lâĂ©quation đ de đ„ Ă©gale đđ„ plus un, nous obtenons
que đ de un est Ă©gal Ă đ fois un plus un, ce qui est simplement đ plus un. Maintenant, bien sĂ»r, đ de un est la sortie de la fonction lorsque lâentrĂ©e est
un. Et nous voyons sur le tableau que câest trois. Nous pouvons donc rĂ©Ă©crire ceci comme trois Ă©gale đ plus un. Ensuite, nous pouvons rĂ©soudre cette Ă©quation en soustrayant un des deux cĂŽtĂ©s. Et cela nous donne đ Ă©gale deux. Et donc lâĂ©quation de notre droite est đ de đ„ Ă©gale deux đ„ plus un.
Maintenant que nous connaissons les valeurs de đ et de đ, nous pourrions vĂ©rifier
ce rĂ©sultat en substituant đ„ Ă©gale deux et en vĂ©rifiant que nous obtenons bien cinq
ou en substituant đ„ Ă©gale trois et en vĂ©rifiant que nous obtenons bien sept. Dans les deux cas, nous confirmons que lâĂ©quation de notre droite est đ de đ„ Ă©gale
deux đ„ plus un.
Dans les deux exemples précédents, nous avons vu une fonction affine trÚs simple
ainsi que sa reprĂ©sentation graphique et son tableau de valeurs. Nous avons vu dans le premier exemple que lorsque les valeurs de đ„ sont
consĂ©cutives, leurs valeurs de đŠ ou les images correspondantes augmentent ou
parfois diminuent du mĂȘme nombre Ă chaque fois. En fait, cette quantitĂ© correspond au coefficient de đ„. Dans cet exemple, le coefficient de đ„ Ă©tait de deux et nos valeurs de đŠ
augmentaient de deux Ă chaque fois. Dans lâexemple prĂ©cĂ©dent, le coefficient de đ„ Ă©tait de huit et les valeurs de đŠ ou
đ de đ„ augmentaient de huit Ă chaque fois. Bien quâil soit hors de portĂ©e de cette leçon dâĂ©tudier cela plus en dĂ©tail, cela
peut servir de vérification facile pour nos résultats.
Prenons un autre exemple, mais cette fois, avec un coefficient de đ„ nĂ©gatif. Cela entraĂźnera une diminution des images correspondantes et une reprĂ©sentation
graphique de la fonction décroissante.
Soit la fonction affine đ de đ„ Ă©gal cinq moins deux đ„. Nous pouvons tracer une droite pour reprĂ©senter cette fonction. ComplĂ©ter le tableau pour trouver les coordonnĂ©es des points sur la droite. Laquelle des figures suivantes reprĂ©sente la fonction?
Et il y aura une troisiĂšme et derniĂšre question que nous examinerons dans un
instant. Nous avons une fonction affine đ de đ„ Ă©gal cinq moins deux đ„. Nous savons que la reprĂ©sentation graphique de cette est une droite non
verticale. Nous allons trouver un ensemble de couples ordonnĂ©s qui satisfont Ă lâĂ©quation de
cette fonction affine en substituant moins deux, moins un, zĂ©ro, un et deux Ă đ„
dans lâexpression cinq moins deux. Nous allons commencer par prendre đ„ Ă©gal moins deux. Nous calculons donc đ de moins deux, ce qui est cinq moins deux fois moins deux. Cela fait cinq plus quatre, ce qui vaut bien sĂ»r neuf. Et donc la premiĂšre valeur dans notre tableau est neuf.
Pour trouver le prochain couple, la valeur suivante dans notre tableau, nous allons
calculer đ de moins un en substituant moins un dans lâexpression cinq moins deux
đ„. Cela nous donne cinq moins deux fois moins un, soit cinq plus deux, ce qui vaut bien
sĂ»r sept. RĂ©pĂ©tons ce processus avec đ„ Ă©gale zĂ©ro. Lorsque nous le faisons, nous obtenons cinq moins deux fois zĂ©ro. Cela fait cinq moins zĂ©ro, ce qui vaut cinq. Maintenant, nous pourrions continuer de cette maniĂšre Ă calculer đ de un et đ de
deux. Mais câest une fonction affine, et nous devrions donc pouvoir repĂ©rer un motif qui se
rĂ©pĂšte pour les valeurs đ de đ„ tant que les valeurs đ„ sont consĂ©cutives.
On voit ici quâentre chaque valeur đ„ on augmente bien dâune unitĂ©. Et nous remarquons que les valeurs đ de đ„ diminuent de deux Ă chaque fois. Cela signifie que nous pouvons trouver la valeur de đ de un en soustrayant deux de
cinq ce qui nous donne trois. De la mĂȘme maniĂšre, nous pouvons soustraire deux Ă trois pour obtenir đ de deux
Ă©gale un. Et on a donc rempli notre tableau.
Nous avons maintenant suffisamment dâinformations pour trouver la reprĂ©sentation
graphique correcte de notre fonction. Les coordonnés des points qui se trouvent sur la représentation graphique de la
fonction sont moins deux, neuf; moins un, sept; zĂ©ro, cinq; et ainsi de suite. Ceux-ci sont simplement tirĂ©s du tableau. Nous plaçons chacun de ces points sur chaque repĂšre. Et nous voyons que la seule figure qui contient la bonne droite est la (D). (D) reprĂ©sente la courbe reprĂ©sentative de đ de đ„ Ă©gal cinq moins deux đ„.
Nous allons maintenant libĂ©rer de lâespace et rĂ©pondre Ă la troisiĂšme question.
Il est demandĂ©, lequel de ces points nâest pas sur la droite? Est-ce six, moins six; moins trois, 11; moins quatre, 13; trois, moins un; ou quatre,
moins trois?
Nous avons deux techniques ici. Nous pourrions, bien sûr, simplement positionner chacun de ces points dans notre
repĂšre et regarder lequel ne se trouve pas sur la droite. Ou alors, nous pouvons substituer la valeur đ„ dans la fonction đ de đ„ Ă©gal cinq
moins deux đ„ et voir si lâimage rĂ©sultante est bien la mĂȘme que la valeur đŠ dans
le couple. En dâautres termes, pour notre premier couple, nous substituons six Ă đ„. Cela nous donne cinq moins deux fois six ou cinq moins 12, ce qui est bien sĂ»r Ă©gal Ă
moins sept. Et donc, lorsque đ„ est Ă©gal Ă six, đŠ est Ă©gal Ă moins sept et non Ă moins six. Donc, la rĂ©ponse doit ĂȘtre (A).
Pour ĂȘtre sĂ»r, nous allons vĂ©rifier les autres points. đ de moins trois est 11 comme requis, et đ de moins quatre est 13. Nous pouvons tracer le point (D) directement sur la figure, et nous voyons quâil se
trouve bien sur cette droite, tout comme le point (E). Quatre, moins trois se trouve bien sur la droite. Et donc le point qui ne se trouve pas sur la droite est six, moins six.
Maintenant, avant de terminer cette leçon, nous allons examiner un cas trÚs
particulier de fonction affine. Nous avons dit quâune fonction affine a une courbe qui est une droite non
verticale. Le cas particulier, qui est en fait une fonction constante, est de la forme đŠ est
Ă©gal Ă đ ou, bien sĂ»r, en notation de fonction đ de đ„ Ă©gale đ, avec đ un nombre
réel. Dans ce cas, la fonction est représentée graphiquement par une droite
horizontale.
Par exemple, supposons quâon nous demande de tracer la reprĂ©sentation graphique de la
fonction đ de đ„ Ă©gale trois. Nous voyons que lâimage de cette fonction est indĂ©pendante de la valeur de đ„. Quelle que soit la valeur que nous substituons Ă đ„, nous obtiendrons toujours une
image de trois. Et donc nous traçons une droite dont la coordonnĂ©e đŠ est toujours Ă©gale Ă trois. Câest une droite horizontale qui coupe lâaxe des đŠ en trois. De la mĂȘme maniĂšre, la reprĂ©sentation graphique de đŠ Ă©gal moins un ou đ de đ„ Ă©gale
moins un est la suivante. Câest une droite horizontale qui coupe lâaxe des đŠ en moins un.
Nous allons maintenant rĂ©capituler les points clĂ©s de cette leçon. Dans cette leçon, nous avons appris que la courbe reprĂ©sentative dâune fonction
affine est une droite non verticale. Et lors de la reprĂ©sentation graphique dâune fonction, les coordonnĂ©es de chaque
point de la courbe ont pour coordonnĂ©es đ„, đ de đ„ - antĂ©cĂ©dent et image. Et nous avons appris un cas particulier quand la fonction est Ă©gale Ă une constante
rĂ©elle đ, đ de đ„ Ă©gal đ ou đŠ Ă©gale đ. Dans ce cas, nous avons simplement une droite horizontale oĂč toutes les coordonnĂ©es
đŠ sont Ă©gales Ă đ.