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VidĂ©o de la leçon: La constante d’équilibre pour les pressions partielles Chimie

Dans cette leçon, nous allons apprendre comment construire et calculer la constante d’équilibre pour les pressions partielles.

15:29

Transcription de la vidéo

Dans cette vidĂ©o, nous allons apprendre Ă  construire et Ă  calculer la constante d’équilibre pour les pressions partielles.

Commençons par rĂ©capituler briĂšvement les constantes d’équilibre. Quand une rĂ©action comme celle-ci est rĂ©versible, en Ă©quilibre, dans un systĂšme fermĂ©, alors la vitesse de la rĂ©action directe est la mĂȘme que la vitesse de la rĂ©action inverse. Si ces quatre substances sont des solutions ou des gaz en Ă©quilibre, alors nous pouvons calculer đŸc, la constante d’équilibre.

đŸc est Ă©gal aux concentrations des produits multipliĂ©es entre elles au numĂ©rateur, divisĂ©es par les concentrations des rĂ©actifs multipliĂ©es entre elles au dĂ©nominateur. Et la concentration de chaque espĂšce est Ă©levĂ©e Ă  la puissance du coefficient stƓchiomĂ©trique devant elle dans l’équation Ă©quilibrĂ©e. Parfois, nous verrons đŸc Ă©crit đŸ ou đŸeq.

Les crochets font rĂ©fĂ©rence Ă  la concentration molaire, ou la molaritĂ©, qui est des moles par litre ou moles par dĂ©cimĂštre cube. Nous sommes peut-ĂȘtre plus habituĂ©s Ă  cette unitĂ© utilisĂ©e pour les concentrations de solutions. Mais nous pouvons utiliser la concentration molaire pour les gaz tant que nous avons les moles de chaque gaz et le volume ou la capacitĂ© du rĂ©cipient.

Outre la concentration molaire, il existe une autre unitĂ© que nous pouvons utiliser Ă  la place pour les gaz dans une expression de constante d’équilibre. Nous savons que dans un systĂšme fermĂ©, tous les gaz d’un mĂ©lange rĂ©actionnel gazeux exercent une pression sur les parois du rĂ©cipient. Nous disons que chaque gaz exerce une pression partielle vers la pression totale Ă  l’intĂ©rieur du rĂ©cipient. Les particules de gaz sont en mouvement constant, et chaque gaz exerce une fraction de la pression totale.

On peut donc exprimer la constante d’équilibre en fonction des pressions partielles, đŸp. Et au numĂ©rateur, nous avons la pression partielle du gaz C Ă©levĂ©e Ă  la puissance 𝑐 multipliĂ©e par la pression partielle exercĂ©e par le gaz D Ă©levĂ©e Ă  la puissance petit 𝑑 divisĂ©es par, au dĂ©nominateur, la pression partielle du gaz A Ă©levĂ©e Ă  la puissance petit 𝑎 multipliĂ©e par la pression partielle du gaz B Ă©levĂ©e Ă  la puissance 𝑏.

Nous avons toujours tous les produits au numĂ©rateur et tous les rĂ©actifs au dĂ©nominateur. Mais cette fois, ils sont exprimĂ©s avec des unitĂ©s de pression. Il existe de nombreuses unitĂ©s possibles pour la pression d’un gaz. Mais deux unitĂ©s courantes sont les atmosphĂšres, atm, et les kilopascals, kPa

Nous savons maintenant comment Ă©crire l’expression de đŸp pour un mĂ©lange rĂ©actionnel gazeux en Ă©quilibre. C’est l’expression gĂ©nĂ©rale. Voyons maintenant un exemple concret.

Voici un exemple de rĂ©action gazeuse Ă  l’équilibre. 2SO2 gazeux plus O2 gazeux rĂ©agissant de maniĂšre rĂ©versible pour donner 2SO3 gazeux. La constante d’équilibre pour les pressions partielles pour cet Ă©quilibre serait đŸp est Ă©gal Ă  la pression partielle du produit SO3 Ă©levĂ©e Ă  la puissance deux, car il existe un coefficient de deux devant SO3, divisĂ©e par les pressions partielles des rĂ©actifs SO2 et O2. Et la pression partielle de SO2 sera Ă©levĂ©e Ă  la puissance deux, car SO2 a un coefficient de deux dans l’équation Ă©quilibrĂ©e.

Nous pourrions Ă©lever la pression partielle de O2 Ă  la puissance un si nous le choisissons parce que son coefficient stƓchiomĂ©trique est un. Ou nous pouvons simplement omettre cette puissance. Et par consĂ©quent, pour l’oxygĂšne, il n’est pas nĂ©cessaire de montrer les parenthĂšses. Je vais donc les effacer aussi. C’est l’expression đŸp pour cette rĂ©action d’équilibre de gaz.

Notez que la pression partielle est parfois Ă©crite avec un P majuscule avec l’indice indiquant la substance. Mais parfois, nous allons trouver une pression partielle Ă©crite avec un p minuscule. Si nous connaissions les pressions partielles de ces substances en termes d’unitĂ©s d’atmosphĂšre, nous aurions une atmosphĂšre au carrĂ© divisĂ©e par une atmosphĂšre au carrĂ© multipliĂ©e par des atmosphĂšres, ce qui nous donnerait une rĂ©ponse finale avec une unitĂ© par atmosphĂšre.

Ainsi, selon l’équation de la rĂ©action et les coefficients stƓchiomĂ©triques, nous pourrions obtenir une unitĂ© diffĂ©rente pour đŸp. Cependant, đŸp est gĂ©nĂ©ralement considĂ©rĂ© comme Ă©tant sans dimension ou sans unitĂ©, tout comme les autres constantes d’équilibre, ce qui signifie que dans un calcul, nous pouvons exprimer la rĂ©ponse numĂ©rique sans unitĂ©s. La taille d’une valeur de đŸp pour une rĂ©action particuliĂšre Ă  l’équilibre a une signification.

Nous pouvons interprĂ©ter la taille de đŸp. Si đŸp est supĂ©rieur Ă  un, nous savons que la valeur du numĂ©rateur dans l’expression đŸp est supĂ©rieure au dĂ©nominateur, ce qui nous indique que les produits sont favorisĂ©s Ă  l’équilibre ou que l’équilibre se trouve Ă  droite. Si đŸp est infĂ©rieur Ă  un, nous savons que la valeur du numĂ©rateur dans l’expression đŸp est petite par rapport Ă  la valeur du dĂ©nominateur, ce qui nous indique que les rĂ©actifs sont favorisĂ©s. En d’autres termes, l’équilibre se situe du cĂŽtĂ© gauche.

Comme d’autres constantes d’équilibre, đŸ p dĂ©pend de la tempĂ©rature. Sa taille est affectĂ©e ou influencĂ©e par la tempĂ©rature. Le chauffage ou le refroidissement va dĂ©placer l’équilibre vers la droite ou vers la gauche, selon que la rĂ©action directe est endothermique ou exothermique. Ainsi, pour une tempĂ©rature prĂ©cise, nous pouvons calculer une valeur de đŸp en utilisant les pressions partielles de toutes les espĂšces du systĂšme. Cependant, parfois, on ne nous donne pas les pressions partielles de chaque gaz, mais plutĂŽt le nombre de moles de chaque gaz Ă  l’équilibre. Mais nous pouvons convertir des moles en pression partielle, puis calculer đŸp.

Si nous connaissons le nombre de moles de chaque gaz d’un mĂ©lange rĂ©actionnel prĂ©sent Ă  l’équilibre dans un systĂšme fermĂ©, alors nous pouvons calculer le nombre total de moles de particules de gaz en additionnant leurs valeurs, de la mĂȘme maniĂšre, et nous l’avons vu prĂ©cĂ©demment, que la pression totale est Ă©gale Ă  la somme des pressions partielles. À partir de ces deux expressions, nous pourrions dĂ©duire deux formules pratiques.

Nous n’allons pas le faire. Mais la premiĂšre expression est la fraction molaire, Ă©tant donnĂ© le symbole grec 𝜒, de la substance A est Ă©gale au nombre de moles de la substance A divisĂ© par le nombre total de moles. Et l’autre expression est que la pression partielle de la substance A est Ă©gale Ă  la fraction molaire de A multipliĂ©e par la pression totale. En d’autres termes, la pression exercĂ©e par le gaz A est une fraction de la pression totale. Nous pourrions faire le mĂȘme calcul pour calculer la pression partielle des gaz B, C et D.

Dans cette premiĂšre formule, comme les unitĂ©s du numĂ©rateur et du dĂ©nominateur sont toutes deux des moles, elles s’annuleront, donnant une rĂ©ponse sans unitĂ© ou sans dimension. Cette rĂ©ponse sera une fraction infĂ©rieure Ă  un. Ces deux Ă©quations sont basĂ©es sur deux suppositions selon lesquelles toutes les particules ont la mĂȘme taille et toutes les particules se comportent de la mĂȘme maniĂšre.

Il est maintenant temps de s’exercer Ă  utiliser ces deux Ă©quations.

On a laissĂ© rĂ©agir 6,00 moles de N2 gazeux et 20,00 moles de H2 Ă  650 Kelvin et Ă  50 atmosphĂšres de pression. À l’équilibre, 4,00 moles de N2 gazeux ont Ă©tĂ© converties en ammoniac selon l’équation suivante : N2 gazeux plus 3H2 gazeux rĂ©agissant de maniĂšre rĂ©versible pour donner 2NH3 gazeux. Calculez đŸp pour cet Ă©quilibre, en donnant votre rĂ©ponse arrondie Ă  deux chiffres aprĂšs la virgule dans la notation scientifique.

On nous demande de calculer đŸp. đŸp est une constante d’équilibre spĂ©ciale, que nous pouvons utiliser lorsque les substances dans une rĂ©action sont des gaz, lorsque la rĂ©action est rĂ©versible et Ă  l’équilibre, et cela ne peut avoir lieu que dans un systĂšme fermĂ©. đŸp est le rapport des concentrations des produits et des rĂ©actifs mais exprimĂ© en pressions partielles.

Dans ce problĂšme, đŸp est Ă©gal Ă  la pression partielle du produit, l’ammoniac, NH3, Ă©levĂ©e Ă  la puissance deux, puisque le coefficient stƓchiomĂ©trique de l’ammoniac est de deux. Le dĂ©nominateur sera la pression partielle du rĂ©actif, N2, l’azote gazeux, Ă©levĂ©e Ă  la puissance un, puisque le coefficient stƓchiomĂ©trique de l’azote est un, multipliĂ©e par la pression partielle de l’autre rĂ©actif, H2, qui est l’hydrogĂšne gazeux, Ă©levĂ©e Ă  la puissance de trois, puisque cette substance a un coefficient stƓchiomĂ©trique de trois.

Nous avons maintenant formulĂ© l’expression de đŸp pour cette rĂ©action rĂ©versible. Il n’est pas nĂ©cessaire de montrer les puissances d’un, et donc pour simplifier, supprimons-la. Si nous le choisissons, nous pouvons simplifier davantage en supprimant ces parenthĂšses ici. Pour calculer đŸp, nous avons seulement besoin des pressions partielles de l’ammoniac, de l’azote et de l’hydrogĂšne. Mais on ne nous donne pas ces valeurs. Nous devons donc utiliser les donnĂ©es qui nous ont Ă©tĂ© donnĂ©es pour calculer d’abord ces trois pressions partielles, puis calculer đŸp.

LibĂ©rons de l’espace pour faire le calcul. Nous pouvons dessiner un tableau utile pour voir quelles donnĂ©es nous avons et ce qu’il manque. On nous dit que six moles d’azote et 20 moles d’hydrogĂšne rĂ©agissent. Nous pouvons supposer qu’au dĂ©part il n’y avait pas d’ammoniac. On nous dit aussi qu’à l’équilibre, quatre moles d’azote ont Ă©tĂ© converties ou transformĂ©es en ammoniac.

Parce que nous connaissons le nombre de moles de dĂ©part des rĂ©actifs et les moles de l’un des rĂ©actifs qui a Ă©tĂ© converti ou transformĂ©, nous pouvons utiliser un tableau ICE, oĂč I est le nombre de moles initial ou de dĂ©part, C les moles converties ou transformĂ©es, et E le nombre de moles Ă  l’équilibre pour chaque espĂšce. Nous pouvons remplir ces valeurs initiales. Les moles transformĂ©es ou converties sont le nombre de moles de chaque substance qui ont rĂ©agi ou qui ont Ă©tĂ© produites. Nous savons que 4,00 moles d’azote sont converties en ammoniac. Mais combien de moles d’hydrogĂšne ont rĂ©agi et combien de moles d’ammoniac ont Ă©tĂ© produites en tout ? Nous devons utiliser le rapport molaire un pour trois pour deux pour calculer ces valeurs.

Puisque le rapport de l’azote Ă  l’ammoniac est de un pour deux, alors si 4,00 moles d’azote ont rĂ©agi ou ont Ă©tĂ© converties ou transformĂ©es, alors 8,00 moles d’ammoniac doivent avoir Ă©tĂ© produites. De la mĂȘme maniĂšre, si les moles d’azote Ă  l’hydrogĂšne sont de un pour trois, alors les moles d’hydrogĂšne qui ont Ă©tĂ© transformĂ©es doivent ĂȘtre trois fois le nombre de moles d’azote qui ont Ă©tĂ© transformĂ©es, ce qui donne 12,00 moles d’hydrogĂšne qui ont rĂ©agi.

La troisiĂšme ligne du tableau ICE, les moles Ă  l’équilibre, est le nombre de moles de chaque espĂšce prĂ©sente Ă  l’équilibre. Initialement, il y avait 6,00 moles d’azote. 4,00 moles de celui-ci ont Ă©tĂ© transformĂ©es ou ont rĂ©agi. Et donc la diffĂ©rence, 2,00 moles, doit ĂȘtre les moles d’azote prĂ©sentes Ă  l’équilibre. Et c’est le nombre de moles d’azote qui n’ont pas rĂ©agi. En faisant le mĂȘme calcul pour l’autre rĂ©actif, nous obtenons 8,00 moles d’hydrogĂšne prĂ©sentes Ă  l’équilibre ou qui n’ont pas rĂ©agi. Initialement, il n’y avait pas d’ammoniac dans le systĂšme. À la fin de la rĂ©action, 8,00 moles d’ammoniac avaient Ă©tĂ© produites. Cela signifie qu’à l’équilibre, il y avait 8,00 moles d’ammoniac. Pouvez-vous voir que pour le produit, nous faisons une addition et non une soustraction ?

Nous allons maintenant utiliser le nombre de moles Ă  l’équilibre de chaque espĂšce pour calculer la pression partielle pour chaque gaz. Mais c’est un processus en deux Ă©tapes. Tout d’abord, nous devons calculer la fraction molaire de chaque substance et, Ă  partir de lĂ , la pression partielle de chaque substance. Ensuite, nous pourrons calculer đŸp. Pour calculer la fraction molaire d’une substance, appelons-la 𝐮, nous devons connaĂźtre le nombre de moles de cette substance Ă  l’équilibre divisĂ© par le nombre total de moles de toutes les substances.

Si nous prenons la somme de ces trois valeurs, nous calculerons le nombre total de moles de particules dans le systĂšme Ă  l’équilibre. En effectuant cette somme, nous obtenons un total de 18,00 moles. Par consĂ©quent, la valeur du dĂ©nominateur pour le calcul de la fraction molaire pour chaque substance est de 18,00 moles. Pour l’azote, la valeur du numĂ©rateur est de 2,00 moles et pour l’hydrogĂšne et l’ammoniac, de 8,00 moles. En rĂ©solvant pour chacun des gaz, nous obtenons 0,111 rĂ©current pour l’azote, 0,444 rĂ©current pour l’hydrogĂšne et 0,444 rĂ©current pour l’ammoniac. Gardons aussi trois chiffres significatifs pour plus de simplicitĂ©.

Notez que les unitĂ©s de moles s’annulent et que la fraction molaire est une quantitĂ© sans unitĂ© ou sans dimension. Ces valeurs sont la fraction du nombre total de moles prĂ©sentes Ă  l’équilibre. Il y a environ 11,1 pour cent d’azote prĂ©sent Ă  l’équilibre et environ 44,4 pour cent d’hydrogĂšne et 44,4 pour cent d’ammoniac.

Maintenant, nous pouvons utiliser l’équation la pression partielle d’une substance, appelons-la 𝐮, est Ă©gale Ă  la fraction molaire de cette substance multipliĂ©e par la pression totale. Nous connaissons la fraction molaire de chaque substance Ă  l’équilibre. Et on nous dit que la pression totale est de 50 atmosphĂšres. Donc, la pression partielle de l’azote est Ă©gale Ă  0,111, la fraction molaire, multipliĂ©e par 50 atmosphĂšres, ce qui nous donne 5,55 atmosphĂšres, la pression partielle de l’azote. Cette valeur signifie que sur la pression totale de 50 atmosphĂšres, 5,55 atmosphĂšres proviennent de l’azote. Nous pouvons faire un calcul similaire pour l’hydrogĂšne et l’ammoniac. Et nous obtenons une pression partielle pour chaque gaz de 22,2 atmosphĂšres.

Enfin, nous sommes prĂȘts Ă  calculer đŸp. Nous pouvons substituer les pressions partielles pour chaque substance dans l’expression de đŸp. Et nous obtenons une valeur đŸp pour cette rĂ©action dans la notation scientifique arrondie Ă  deux chiffres aprĂšs la virgule, ce qui nous a Ă©tĂ© demandĂ©, de 8,12 fois 10 moins trois. Nous n’avons pas inclus les unitĂ©s parce que đŸp est normalement une grandeur sans dimension ou sans unitĂ©.

RĂ©sumons ce que nous avons appris sur đŸp. Pour une rĂ©action d’équilibre de gaz dans un systĂšme fermĂ©, la constante d’équilibre pour les pressions partielles est donnĂ©e par cette expression. đŸp est Ă©gal aux pressions partielles des produits C et D multipliĂ©es entre elles divisĂ©es par les pressions partielles des rĂ©actifs A et B multipliĂ©es entre elles et chaque valeur Ă©levĂ©e Ă  la puissance du coefficient stƓchiomĂ©trique de cette espĂšce Ă  partir de l’équation chimique.

Nous avons appris que đŸp est gĂ©nĂ©ralement sans dimension et dĂ©pend de la tempĂ©rature. Nous avons appris que la fraction molaire d’une substance Ă  l’équilibre est Ă©gale au nombre de moles de cette substance divisĂ© par le nombre total de moles et que la fraction molaire peut ĂȘtre utilisĂ©e avec la pression totale pour calculer la pression partielle d’une substance particuliĂšre.

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