Vidéo de la leçon: Les bases des équations différentielles | Nagwa Vidéo de la leçon: Les bases des équations différentielles | Nagwa

VidĂ©o de la leçon: Les bases des Ă©quations diffĂ©rentielles Mathématiques

Dans cette vidĂ©o, nous allons apprendre Ă  classer les Ă©quations diffĂ©rentielles en ordinaire ou partielle, linĂ©aire ou non linĂ©aire, et Ă  identifier l’ordre des Ă©quations diffĂ©rentielles.

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Transcription de la vidéo

Dans cette vidĂ©o, nous allons apprendre les bases des Ă©quations diffĂ©rentielles. Nous verrons d’abord ce qu’est une Ă©quation diffĂ©rentielle et comment elle pourrait survenir dans des problĂšmes physiques dans les domaines des mathĂ©matiques et de la physique. Nous allons introduire la terminologie associĂ©e aux Ă©quations diffĂ©rentielles. Et dans le contexte d’exemples, nous verrons comment classer les Ă©quations diffĂ©rentielles selon leur type et leur ordre.

Commençons par voir ce qu’est une Ă©quation diffĂ©rentielle. Eh bien, c’est juste une Ă©quation qui contient une fonction et une ou plusieurs de ses dĂ©rivĂ©es par rapport Ă  une variable indĂ©pendante. Par exemple, l’équation d𝑩 par dđ‘„ plus 𝑩 Ă©gale trois đ‘„ est une Ă©quation diffĂ©rentielle. Ici, 𝑩 est la fonction qui nous intĂ©resse. C’est une fonction de la variable indĂ©pendante đ‘„ et l’équation comprend la dĂ©rivĂ©e premiĂšre de 𝑩 par rapport Ă  đ‘„.

Il existe Ă©galement des Ă©quations diffĂ©rentielles bien plus compliquĂ©es. Par exemple, l’équation d deux 𝑩 par dđ‘„ au carrĂ© plus quatre 𝑩 fois d𝑩 par dđ‘„ le tout au carrĂ© plus trois 𝑩 Ă©gale sin đ‘„. Cette Ă©quation diffĂ©rentielle comprend non seulement une dĂ©rivĂ©e premiĂšre d𝑩 par dđ‘„ qui est au carrĂ©, mais Ă©galement la dĂ©rivĂ©e seconde de 𝑩 par rapport Ă  đ‘„, d deux 𝑩 par dđ‘„ au carrĂ©. Nous avons donc une Ă©quation qui contient une fonction 𝑩, et sa dĂ©rivĂ©e premiĂšre d𝑩 par dđ‘„, ainsi que sa dĂ©rivĂ©e seconde d deux 𝑩 par dđ‘„ au carrĂ©.

Le premier de ces deux exemples est connu sous le nom d’équation diffĂ©rentielle du premier ordre car la dĂ©rivĂ©e du plus grand ordre qu’elle contient est une dĂ©rivĂ©e premiĂšre, la dĂ©rivĂ©e premiĂšre de 𝑩 par rapport Ă  đ‘„, d𝑩 par dđ‘„. Le deuxiĂšme exemple est connu sous le nom d’équation diffĂ©rentielle d’ordre deux, car la dĂ©rivĂ©e d’ordre le plus Ă©levĂ© qu’elle contient est une dĂ©rivĂ©e seconde, d deux 𝑩 sur d đ‘„ au carrĂ©. Plus gĂ©nĂ©ralement, les Ă©quations diffĂ©rentielles peuvent ĂȘtre classĂ©es en fonction de la dĂ©rivĂ©e d’ordre le plus Ă©levĂ© qu’elles contiennent. Ainsi, une Ă©quation diffĂ©rentielle dans laquelle la dĂ©rivĂ©e d’ordre le plus Ă©levĂ© est une dĂ©rivĂ©e d’ordre 𝑛 serait classĂ©e comme une Ă©quation diffĂ©rentielle d’ordre 𝑛.

Des exemples d’équations diffĂ©rentielles apparaissent dans beaucoup de problĂšmes physiques. Par exemple, une simple croissance dĂ©mographique, oĂč le taux d’augmentation de la population 𝑃 est proportionnel Ă  la population elle-mĂȘme. Et cela peut ĂȘtre modĂ©lisĂ© par l’équation diffĂ©rentielle d𝑃 par d𝑡 Ă©gale 𝑘𝑃. Ici, 𝑡 reprĂ©sente le temps et 𝑘 s’appelle la constante de proportionnalitĂ©.

À prĂ©sent, cette vidĂ©o ne permet pas de voir comment nous pourrions rĂ©soudre une Ă©quation diffĂ©rentielle de ce type. Mais en fait, si nous avions la condition initiale que la population au temps zĂ©ro soit Ă©gale Ă  une valeur 𝑃 zĂ©ro, alors on peut montrer que la solution Ă  cette Ă©quation diffĂ©rentielle serait que la population au temps 𝑡 soit Ă©gale Ă  𝑃 zĂ©ro fois 𝑒 Ă  la puissance 𝑘𝑡. La population augmente donc de maniĂšre exponentielle.

Maintenant, pour rĂ©soudre une Ă©quation diffĂ©rentielle en gĂ©nĂ©ral, nous devons trouver une expression pour la variable dĂ©pendante, qui dans ce cas serait 𝑃, en fonction d’une variable indĂ©pendante, qui serait ici 𝑡. La solution est une fonction telle que cette fonction et ses dĂ©rivĂ©es vĂ©rifient l’équation diffĂ©rentielle. Maintenant, gĂ©nĂ©ralement, lorsque nous rĂ©solvons une Ă©quation diffĂ©rentielle, nous n’obtenons pas une solution unique, mais un groupe de solutions qui vĂ©rifieront toutes l’équation diffĂ©rentielle mais diffĂ©reront les unes des autres selon la valeur de toutes les constantes.

Si nous recevons Ă©galement des informations supplĂ©mentaires, comme ici la valeur de la population au temps zĂ©ro, nous pouvons dĂ©terminer les valeurs de ces constantes et obtenir ainsi une solution particuliĂšre Ă  l’équation diffĂ©rentielle. Cette information supplĂ©mentaire est appelĂ©e condition aux limites ou parfois condition initiale si elle spĂ©cifie la valeur de la fonction lorsque la valeur de la variable indĂ©pendante est zĂ©ro.

Cependant, la rĂ©solution d’équations diffĂ©rentielles n’est pas l’objectif de cette vidĂ©o. Nous nous concentrons plutĂŽt sur leur comprĂ©hension et leur classification. Nous allons cependant envisager un exemple sur comment nous pouvons confirmer qu’une fonction donnĂ©e satisfait vraiment Ă  une Ă©quation diffĂ©rentielle.

Est-ce que la fonction 𝑩 Ă©gale un sur deux plus đ‘„ est une solution de l’équation diffĂ©rentielle 𝑩 prime Ă©gale moins 𝑩 au carrĂ© ?

Rappelez-vous que 𝑩 prime est une autre façon de dire d𝑩 par dđ‘„, la dĂ©rivĂ©e premiĂšre de 𝑩 par rapport Ă  đ‘„. On nous donne donc une Ă©quation diffĂ©rentielle d’ordre un et on nous demande de dĂ©terminer si la fonction 𝑩 est une solution de l’équation. Autrement dit, nous devons savoir si la fonction 𝑩 satisfait Ă  cette Ă©quation.

Commençons par dĂ©terminer ce que 𝑩 prime, ou d𝑩 par dđ‘„, Ă©gale pour cette fonction 𝑩. Et pour ce faire, nous pouvons d’abord exprimer 𝑩 sous une forme alternative. Nous pouvons l’écrire comme deux plus đ‘„ Ă  la puissance moins un. Nous pouvons ensuite trouver cette dĂ©rivĂ©e en utilisant la rĂšgle de puissance, qui dit que si nous avons une fonction 𝑓 de đ‘„ Ă  la puissance 𝑛, sa dĂ©rivĂ©e par rapport Ă  đ‘„ est Ă©gale Ă  𝑛 fois 𝑓 prime de đ‘„ fois 𝑓 de đ‘„ Ă  la puissance 𝑛 moins un.

Ici, notre fonction 𝑓 de đ‘„ est deux plus đ‘„, et notre puissance 𝑛 est moins un. Donc en appliquant la rĂšgle de puissance, nous avons 𝑛, qui est moins un, fois la dĂ©rivĂ©e de deux plus đ‘„, qui est un, multipliĂ© par 𝑓 de đ‘„. C’est deux plus đ‘„, Ă  la puissance 𝑛 moins un. Donc, c’est la puissance moins deux. Nous pouvons alors rĂ©Ă©crire ceci comme moins un sur deux plus đ‘„ le tout au carrĂ©. Donc, nous savons ce que le membre gauche de cette Ă©quation diffĂ©rentielle serait pour cette fonction 𝑩.

À droite, nous avons moins 𝑩 au carrĂ©. Donc, c’est la fonction d’origine 𝑩 Ă©levĂ©e au carrĂ© puis multipliĂ©e par moins un, ce qui Ă©quivaut Ă  moins un sur deux plus đ‘„ le tout au carrĂ©. Pour Ă©lever une fraction au carrĂ©, nous pouvons Ă©lever le numĂ©rateur et le dĂ©nominateur tous deux au carrĂ©. Donc, nous avons moins un au carrĂ©, qui est un, sur deux plus đ‘„ le tout carrĂ©.

Maintenant, nous comparons nos expressions pour 𝑩 prime et moins 𝑩 au carrĂ©. Et nous voyons qu’elles sont toutes les deux Ă©gales Ă  moins un sur deux plus đ‘„ le tout au carrĂ©. Ainsi, elles sont vraiment Ă©gales entre elles. Cela nous dit que la fonction 𝑩 Ă©gale un sur deux plus đ‘„ satisfait Ă  l’équation diffĂ©rentielle donnĂ©e et, par consĂ©quent, c’est une solution.

Nous allons maintenant voir quelques autres exemples pour introduire la terminologie nĂ©cessaire pour dĂ©crire la grande variĂ©tĂ© des autres types d’équations diffĂ©rentielles que nous pouvons rencontrer.

DĂ©terminez l’ordre de l’équation diffĂ©rentielle d deux 𝑩 par dđ‘„ au carrĂ© au cube moins 𝑩 triple prime Ă  la puissance quatre plus đ‘„ Ă©gale zĂ©ro.

Nous rappelons d’abord que l’ordre d’une Ă©quation diffĂ©rentielle est l’ordre de la dĂ©rivĂ©e de plus grand ordre qui apparaĂźt dans cette Ă©quation. Nous pouvons voir en un coup d’Ɠil que cette Ă©quation diffĂ©rentielle implique une dĂ©rivĂ©e seconde, d deux 𝑩 par dđ‘„ au carrĂ©. Mais si nous regardons un peu plus prĂšs, nous voyons que l’équation contient Ă©galement 𝑩 triple prime, qui est une notation alternative pour la dĂ©rivĂ©e troisiĂšme. La dĂ©rivĂ©e de plus grand ordre est trois. Et par consĂ©quent, l’ordre de cette Ă©quation diffĂ©rentielle est trois.

Maintenant, ne vous laissez pas tromper par les puissances ici. C’est la puissance trois avec la dĂ©rivĂ©e seconde et la puissance quatre avec la dĂ©rivĂ©e troisiĂšme. L’ordre d’une Ă©quation diffĂ©rentielle n’est pas la puissance la plus Ă©levĂ©e de la variable ou de l’une de ses dĂ©rivĂ©es qui apparaĂźt dans l’équation. C’est l’ordre de la dĂ©rivĂ©e de plus grand ordre dans l’équation. Ainsi, cette puissance trois pour le premier terme et cette puissance quatre pour le deuxiĂšme terme n’ont absolument rien Ă  voir avec la dĂ©termination de l’ordre de l’équation diffĂ©rentielle.

Dans notre exemple suivant, nous apprendrons la différence entre les équations différentielles linéaires et non linéaires.

Est-ce que l’équation diffĂ©rentielle d𝑩 par dđ‘„ plus đ‘„ racine 𝑩 Ă©gale đ‘„ au carrĂ© est linĂ©aire ?

Une Ă©quation diffĂ©rentielle linĂ©aire est une Ă©quation qui peut ĂȘtre exprimĂ©e sous la forme d’un polynĂŽme linĂ©aire de la fonction inconnue, dans ce cas 𝑩 et ses dĂ©rivĂ©es. Cela signifie que les seules puissances de la fonction inconnue et de chaque dĂ©rivĂ©e qui apparaĂźt dans l’équation sont un ou zĂ©ro si l’équation ne contient pas une dĂ©rivĂ©e de cet ordre. Et aussi chaque dĂ©rivĂ©e et la fonction elle-mĂȘme sont multipliĂ©es par des fonctions de đ‘„ seulement.

Ainsi, par exemple, l’équation deux fois d𝑩 sur dđ‘„ plus quatre đ‘„đ‘Š Ă©gale trois đ‘„ serait un exemple d’équation diffĂ©rentielle linĂ©aire. Parce que la puissance de 𝑩 et celle de d𝑩 par dđ‘„ est un et elles sont chacune multipliĂ©es par une fonction de đ‘„ seulement. Alors que l’équation deux fois d𝑩 par dđ‘„ plus quatre đ‘„ sur 𝑩 Ă©gale trois đ‘„ est non linĂ©aire comme dans le deuxiĂšme terme, la puissance de 𝑩 est moins un. L’équation quatre đ‘„ d deux 𝑩 par dđ‘„ au carrĂ© plus deux 𝑩 d 𝑩 par dđ‘„ Ă©gale sept est Ă©galement non linĂ©aire comme dans le deuxiĂšme terme, nous voyons que d𝑩 par dđ‘„ est multipliĂ©e par une fonction de 𝑩, pas une fonction pure de đ‘„.

Plus formellement, on peut dire qu’une Ă©quation diffĂ©rentielle est linĂ©aire si elle peut ĂȘtre exprimĂ©e sous la forme montrĂ©e sur l’écran. Chaque dĂ©rivĂ©e d’ordre 𝑛 de 𝑩 et la fonction 𝑩 elle-mĂȘme est multipliĂ©e par un polynĂŽme dans đ‘„ uniquement. Alors, considĂ©rons l’équation diffĂ©rentielle qui nous a Ă©tĂ© donnĂ©e. Et nous pouvons voir que cela inclut la racine carrĂ©e de 𝑩. Maintenant, une autre façon d’exprimer la racine carrĂ©e de 𝑩 Ă©gale 𝑩 Ă  la puissance un demi. Et ainsi, cette Ă©quation diffĂ©rentielle est non linĂ©aire, car la puissance 𝑩 n’égale pas un.

Notez maintenant que ce n’est pas la prĂ©sence du terme đ‘„ au carrĂ© au membre droit qui rend cette Ă©quation diffĂ©rentielle non linĂ©aire. đ‘„ est la variable indĂ©pendante dans cette Ă©quation. Et ce ne sont que les puissances de la variable dĂ©pendante et de ses dĂ©rivĂ©es, c’est-Ă -dire 𝑩 et d𝑩 par dđ‘„ et ainsi de suite, qui doivent toutes ĂȘtre Ă©gales Ă  un pour que l’équation soit linĂ©aire.

Dans notre dernier exemple, nous allons connaßtre la différence entre les équations différentielles ordinaires et partielles.

Laquelle des relations suivantes est une équation différentielle ordinaire ?

Rappelons tout d’abord qu’une Ă©quation diffĂ©rentielle contient une fonction et une ou plusieurs de ses dĂ©rivĂ©es par rapport Ă  une variable indĂ©pendante. Si nous considĂ©rons la premiĂšre Ă©quation, tout d’abord, 𝑧 Ă©gale cinq đ‘„đ‘Š, nous voyons qu’elle ne contient pas de dĂ©rivĂ©s. Et donc, ce n’est pas une Ă©quation diffĂ©rentielle. C’est simplement une Ă©quation reliant les trois variables đ‘„, 𝑩 et 𝑧. Nous pouvons donc exclure l’option A.

De la mĂȘme maniĂšre, si nous considĂ©rons la derniĂšre Ă©quation 𝑩 Ă©gale la racine carrĂ©e de đ‘„ au carrĂ© moins quatre, il ne s’agit pas non plus d’une Ă©quation diffĂ©rentielle, car elle ne contient aucune dĂ©rivĂ©e. Elle exprime simplement la relation entre les variables đ‘„ et 𝑩. Il ne nous reste donc plus que deux possibilitĂ©s, B et C. En considĂ©rant la deuxiĂšme Ă©quation, nous voyons qu’elle contient une variable inconnue 𝑩 et sa dĂ©rivĂ©e par rapport Ă  une variable indĂ©pendante đ‘„. Donc, celle-ci est un exemple d’équation diffĂ©rentielle.

Mais la question ne nous demande pas de juste dĂ©terminer laquelle est une Ă©quation diffĂ©rentielle. On nous demande de dĂ©terminer laquelle est une Ă©quation diffĂ©rentielle ordinaire. Nous devons donc envisager ce que ce mot « ordinaire » signifie dans ce contexte. La troisiĂšme Ă©quation contient Ă©galement une dĂ©rivĂ©e. Et en fait, il s’agit cette fois d’une dĂ©rivĂ©e seconde. Mais on voit que la notation utilisĂ©e est lĂ©gĂšrement diffĂ©rente. Cette notation reprĂ©sente la dĂ©rivĂ©e seconde partielle de la variable 𝑧 par rapport Ă  đ‘„.

Cela signifie que la fonction 𝑧 n’est pas juste une fonction de đ‘„, mais aussi d’une ou plusieurs autres variables, telles que 𝑩. La dĂ©rivĂ©e partielle de 𝑧 par rapport Ă  đ‘„ est la fonction que nous obtenons si nous traitons chacune des autres variables comme Ă©tant constante lors de la dĂ©rivation. Et en fait, la dĂ©rivĂ©e seconde partielle de 𝑧 par rapport Ă  đ‘„ est ce que nous obtenons si nous faisons cela deux fois.

Nous revenons donc Ă  ce mot « ordinaire » dans la question. Une Ă©quation diffĂ©rentielle ordinaire ne contient que des dĂ©rivĂ©es ordinaires, contrairement aux dĂ©rivĂ©es partielles, car la fonction inconnue est une fonction de la variable indĂ©pendante uniquement. La notation utilisĂ©e dans l’équation B montre que celle-ci ne contient que la fonction 𝑩 et sa dĂ©rivĂ©e premiĂšre ordinaire. Donc, elle est une Ă©quation diffĂ©rentielle ordinaire. Tandis que l’option C contient une dĂ©rivĂ©e partielle, et ainsi est appelĂ©e Ă©quation diffĂ©rentielle partielle.

Vous pouvez voir les abrĂ©viations EDO et EDP utilisĂ©es pour dĂ©crire les Ă©quations diffĂ©rentielles ordinaires et les Ă©quations diffĂ©rentielles partielles, respectivement. Donc notre rĂ©ponse Ă  la question, laquelle des relations suivantes est une Ă©quation diffĂ©rentielle ordinaire, est B. A et D ne sont pas des Ă©quations diffĂ©rentielles. Et C’est une Ă©quation diffĂ©rentielle, mais c’est une Ă©quation diffĂ©rentielle partielle.

RĂ©sumons ce que nous avons vu dans cette vidĂ©o. PremiĂšrement, les Ă©quations diffĂ©rentielles sont des Ă©quations qui mettent en relation une fonction et une ou plusieurs de ses dĂ©rivĂ©es. L’ordre d’une Ă©quation diffĂ©rentielle est l’ordre de la dĂ©rivĂ©e de plus grand ordre qu’elle contient. Ainsi, une Ă©quation diffĂ©rentielle dans laquelle la dĂ©rivĂ©e d’ordre le plus Ă©levĂ© est une dĂ©rivĂ©e troisiĂšme serait d’ordre trois.

Une Ă©quation diffĂ©rentielle linĂ©aire peut ĂȘtre exprimĂ©e sous la forme indiquĂ©e sur l’écran. La puissance de la fonction 𝑩 et de chacune de ses dĂ©rivĂ©es est un ou zĂ©ro. Et 𝑩 et chacune de ses dĂ©rivĂ©es sont multipliĂ©es par des fonctions pures de đ‘„. Et enfin, les Ă©quations diffĂ©rentielles ordinaires, ou EDO, ne contiennent que des dĂ©rivĂ©es ordinaires, telles que d𝑩 sur dđ‘„. Ici, la fonction 𝑩 est une fonction d’une seule variable indĂ©pendante đ‘„.

Alors que les Ă©quations diffĂ©rentielles partielles, ou EDP, contiennent des dĂ©rivĂ©es partielles. Ici, la fonction 𝑩 est une fonction de plus d’une variable indĂ©pendante. Les Ă©quations diffĂ©rentielles ont de nombreuses applications et peuvent ĂȘtre utilisĂ©es pour modĂ©liser un large Ă©ventail de phĂ©nomĂšnes physiques.

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