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VidĂ©o de la leçon: CaractĂ©ristiques des fonctions du second degrĂ© Mathématiques

Dans cette vidéo, nous apprendrons à identifier les caractéristiques des fonctions du second degré, telles que son sommet, ses extrémités, son axe de symétrie, son ensemble de définition et son ensemble image.

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Transcription de la vidéo

Dans cette vidĂ©o, nous apprendrons Ă  identifier les caractĂ©ristiques des fonctions du second degrĂ©, telles que le sommet, les zĂ©ros, l’axe de symĂ©trie, l’ensemble de dĂ©finition et l’ensemble image. Nous verrons comment nous pouvons dĂ©terminer ces caractĂ©ristiques Ă  la fois graphiquement et Ă  partir de l’équation de la fonction. Vous devez dĂ©jĂ  ĂȘtre familiarisĂ© avec le processus de complĂ©tion du carrĂ© ou de rĂ©daction d’une expression du second degrĂ© sous forme de carrĂ© complĂ©tĂ©, bien que cela soit briĂšvement rĂ©capitulĂ© dans le contexte des exemples.

Nous rappelons tout d’abord qu’une fonction du second degrĂ© est de la forme gĂ©nĂ©rale 𝑓 de đ‘„ Ă©gale đ‘Žđ‘„ au carrĂ© plus đ‘đ‘„ plus 𝑐, oĂč 𝑎, 𝑏 et 𝑐 sont des constantes et 𝑎 doit ĂȘtre non nul. Une forme alternative dans laquelle les fonctions du second degrĂ© peuvent ĂȘtre reprĂ©sentĂ©es est le carrĂ© complĂ©tĂ© ou la forme canonique. 𝑓 de đ‘„ est Ă©gale Ă  𝑎 multipliĂ© par đ‘„ plus 𝑝 le tout au carrĂ© plus 𝑞, oĂč 𝑎, 𝑝 et 𝑞 sont des constantes et encore 𝑎 doit ĂȘtre diffĂ©rent de zĂ©ro.

Si nous devions tracer la courbe de 𝑩 Ă©gal Ă  𝑓 de đ‘„ pour une fonction du second degrĂ©, alors nous constatons que toutes les fonctions du second degrĂ© partagent la mĂȘme forme gĂ©nĂ©rale, qui est connue comme une parabole. La premiĂšre distinction que nous pouvons faire est dans le type de parabole, et cela est dĂ©terminĂ© par le signe du coefficient de đ‘„ au carrĂ©. C’est la valeur de 𝑎. Si 𝑎 est positif, alors la parabole sera courbĂ©e vers le haut comme dans le diagramme de gauche, alors que si 𝑎 est nĂ©gatif, la parabole se courbera vers le bas comme dans le diagramme de droite. C’est la premiĂšre chose clĂ© Ă  rechercher lors de la dĂ©termination de la forme de la courbe d’une fonction du second degrĂ©.

RĂ©flĂ©chissons Ă  certaines des autres caractĂ©ristiques gĂ©nĂ©rales des fonctions du second degrĂ© dont nous devons ĂȘtre conscients. Et nous le ferons en considĂ©rant la courbe d’une expression du second degrĂ© simple. 𝑓 de đ‘„ est Ă©gale Ă  đ‘„ au carrĂ© plus deux đ‘„ moins trois. La premiĂšre chose que nous pouvons dĂ©terminer Ă  propos de cette courbe est son interception 𝑩. On rappelle que partout sur l’axe des 𝑩, đ‘„ est Ă©gal Ă  zĂ©ro. Ainsi, en substituant zĂ©ro dans l’équation de 𝑓 de đ‘„, nous trouvons la valeur de 𝑩 lorsque đ‘„ est Ă©gal Ă  zĂ©ro est moins trois.

Maintenant, c’est le terme constant dans notre fonction du second degrĂ©, et ce sera toujours le cas. Donc, en gĂ©nĂ©ral, si nous avons une expression du second degrĂ© 𝑓 de đ‘„ Ă©gal Ă  đ‘Žđ‘„ au carrĂ© plus đ‘đ‘„ plus 𝑐, alors la valeur de son ordonnĂ©e Ă  l’origine 𝑩 sera 𝑐.

La deuxiĂšme caractĂ©ristique clĂ© d’une fonction du second degrĂ© est ses racines ou ses zĂ©ros. Maintenant, ce sont les valeurs đ‘„ auxquelles la courbe croise l’axe des đ‘„. On sait que partout sur l’axe des đ‘„, 𝑩 ou 𝑓 de đ‘„ est Ă©gale Ă  zĂ©ro. Ce sont donc les solutions Ă  l’équation 𝑓 de đ‘„ est Ă©gale Ă  zĂ©ro.

Nous pouvons trouver ces valeurs en considĂ©rant la forme factorisĂ©e ou factorisĂ©e de notre fonction du second degrĂ©. Dans ce cas, notre expression du second degrĂ© peut ĂȘtre factorisĂ© comme đ‘„ plus trois multipliĂ© par đ‘„ moins un. Et nous prenons ensuite chacun de ces facteurs tour Ă  tour, les mettons Ă©gaux Ă  zĂ©ro et rĂ©solvons les Ă©quations linĂ©aires rĂ©sultantes, donnant đ‘„ Ă©gal Ă  moins trois et đ‘„ Ă©gal Ă  un.

Nous avons maintenant suffisamment d’informations pour pouvoir esquisser cette expression du second degrĂ© de façon assez prĂ©cise. Le coefficient de đ‘„ au carrĂ© est un, il est donc positif, ce qui signifie que la parabole s’ouvre vers le haut. Nous avons une ordonnĂ©e Ă  l’origine 𝑩 de moins trois et une interception đ‘„ de trois et moins un.

La prochaine caractĂ©ristique clĂ© que nous voulons considĂ©rer est le sommet ou le point tournant de notre expression du second degrĂ©. Or, ce point tournant sera un minimum lorsque la valeur de 𝑎 est positive, et ce sera un maximum lorsque la valeur de 𝑎 sera nĂ©gative. Dans notre cas, c’est un point minimum. Ce sont les coordonnĂ©es de ce point ici. Afin de trouver les coordonnĂ©es de ce point, nous considĂ©rons la forme canonique de notre expression du second degrĂ©, qui dans ce cas est đ‘„ plus un tout carrĂ© moins quatre. Nous allons voir comment procĂ©der dans quelques exemples.

Maintenant, nous devons rappeler ici un rĂ©sultat gĂ©nĂ©ral, qui est que pour l’expression du second degrĂ© sous sa forme gĂ©nĂ©rale de sommet đ‘Žđ‘„ plus 𝑝 le tout au carrĂ© plus 𝑞, son sommet sera au point moins 𝑝, 𝑞. Ce qui signifie pour notre expression du second degrĂ©, son sommet sera au point moins un, moins quatre. Ce qui est logique lorsque nous considĂ©rons la position de ce point par rapport aux valeurs que nous avons marquĂ©es sur nos axes.

Voilà donc trois caractéristiques clés de nos fonctions du second degré. Voyons maintenant un peu plus.

Une parabole est une courbe lisse et symĂ©trique, ce qui signifie que chaque parabole a un axe ou un axe de symĂ©trie. Ce sera une droite verticale passant par le sommet de notre fonction. Les droites verticales ont des Ă©quations de la forme đ‘„ Ă©gale constante. Et la valeur đ‘„ Ă  travers laquelle cette droite passe est la coordonnĂ©e đ‘„ du sommet. Ainsi, l’équation de l’axe de symĂ©trie pour cette parabole sera đ‘„ Ă©gale Ă  moins un.

Les deux autres caractĂ©ristiques dont nous devons tenir compte sont l’ensemble de dĂ©finition et l’ensemble image de notre expression du second degrĂ©. Maintenant, nous rappelons tout d’abord que l’ensemble de dĂ©finition d’une fonction est l’ensemble de toutes les valeurs sur lesquelles la fonction agit, que nous pouvons Ă©galement considĂ©rer comme les valeurs d’entrĂ©e de la fonction. Un trinĂŽme de second degrĂ© est juste un type de polynĂŽme, et tous les polynĂŽmes peuvent agir sur toutes les valeurs đ‘„. Cela signifie qu’il n’y a aucune restriction sur les valeurs de đ‘„ sur lesquelles la fonction peut agir. Nous disons donc que l’ensemble de dĂ©finition est l’ensemble de tous les nombres rĂ©els.

Enfin, nous considĂ©rons l’ensemble image de la fonction, qui est l’ensemble de toutes les valeurs produites par la fonction. Ou dans le cas d’un graphique, on peut le considĂ©rer comme toutes les valeurs de 𝑓 de đ‘„ ou 𝑩. De notre courbe, nous pouvons voir que toutes les valeurs 𝑩 possibles de la fonction sont les valeurs de 𝑩 du point minimum vers le haut. Ce sont toutes des valeurs 𝑩 supĂ©rieures ou Ă©gales Ă  moins quatre. Nous pouvons soit exprimer l’ensemble image comme 𝑓 de đ‘„ est supĂ©rieur ou Ă©gal Ă  moins quatre. Ou nous pouvons l’écrire en utilisant la notation d’intervalle comme l’intervalle de moins quatre Ă  ∞, qui est fermĂ© Ă  l’extrĂ©mitĂ© infĂ©rieure et ouvert Ă  l’extrĂ©mitĂ© supĂ©rieure.

Maintenant que nous avons vu comment identifier les principales caractéristiques des fonctions du second degré, considérons quelques exemples.

Trouvez les coordonnĂ©es du sommet de la courbe de 𝑓 de đ‘„ est Ă©gale Ă  đ‘„ au carrĂ© plus huit đ‘„ plus sept. Indiquez la valeur de la fonction au sommet et dĂ©terminez s’il s’agit d’une valeur minimale ou maximale.

Afin de trouver les coordonnĂ©es du sommet de cette courbe, nous devons convertir son Ă©quation en forme de sommet. 𝑓 de đ‘„ est Ă©gale Ă  𝑎 multipliĂ© par đ‘„ plus 𝑝 le tout au carrĂ© plus 𝑞. Maintenant, en regardant l’équation de cette courbe, nous voyons que la valeur de 𝑎, le coefficient de đ‘„ au carrĂ©, est un. Nous cherchons donc en fait cette expression du second degrĂ© sous la forme đ‘„ plus 𝑝 le tout au carrĂ© plus 𝑞, ce que nous pouvons faire en complĂ©tant le carrĂ©.

PremiĂšrement, nous dĂ©terminons la valeur de 𝑝 Ă  l’intĂ©rieur des parenthĂšses. Et c’est toujours la moitiĂ© du coefficient de đ‘„ dans l’équation. La moitiĂ© de huit est quatre, nous avons donc đ‘„ plus quatre le tout au carrĂ©. Maintenant, nous voulons que cette premiĂšre partie de notre fonction du second degrĂ© soit Ă©quivalente Ă  đ‘„ au carrĂ© plus huit đ‘„. Mais nous savons que si nous distribuions đ‘„ plus quatre le tout au carrĂ©, cela donnerait đ‘„ au carrĂ© plus huit đ‘„ plus 16. Nous avons donc un 16 supplĂ©mentaire que nous devons soustraire afin de nous assurer que ces deux parties de l’expression du second degrĂ© sont Ă©quivalentes.

đ‘„ au carrĂ© plus huit đ‘„ est donc Ă©quivalent Ă  đ‘„ plus quatre le tout au carrĂ© moins 16. Et puis nous avons aussi le plus sept, qui reste le mĂȘme. La valeur de 16 que nous soustrayons est de quatre au carrĂ©. C’est le carrĂ© de notre valeur 𝑝. Ensuite, nous devons simplement simplifier. Moins 16 plus sept est moins neuf. Nous avons donc maintenant notre expression du second degrĂ© sous sa forme canonique.

On rappelle alors que pour une expression du second degrĂ© sous sa forme canonique, son sommet aura les coordonnĂ©es moins 𝑝, 𝑞. Pour notre expression du second degrĂ©, la valeur de 𝑝 est quatre et la valeur de 𝑞 est moins neuf. Ainsi, les coordonnĂ©es du sommet seront moins 𝑝, c’est-Ă -dire moins quatre, 𝑞, ce qui est moins neuf. Nous avons donc trouvĂ© les coordonnĂ©es du sommet de cette courbe.

La question nous demande Ă©galement d’indiquer la valeur de la fonction au sommet. La valeur de la fonction sera la coordonnĂ©e 𝑩, donc la valeur est moins neuf.

Enfin, on nous a demandĂ© de dĂ©terminer s’il s’agissait d’une valeur minimale ou maximale. Eh bien, cela est dĂ©terminĂ© par le coefficient de đ‘„ au carrĂ©, la valeur de 𝑎, qui dans notre Ă©quation est un. Comme 𝑎 est positif, la parabole s’ouvrira vers le haut, ce qui signifie que le sommet sera au minimum.

Nous avons donc rĂ©solu le problĂšme. Les coordonnĂ©es du sommet sont moins quatre, moins neuf. La valeur de la fonction elle-mĂȘme est moins neuf. Et c’est une valeur minimale.

Dans notre exemple suivant, nous verrons comment dĂ©terminer l’ensemble de dĂ©finition et l’ensemble image d’une fonction du second degrĂ© donnĂ©e sous sa forme canonique.

DĂ©terminez l’ensemble de dĂ©finition et l’ensemble image de la fonction 𝑓 de đ‘„ est Ă©gale Ă  quatre multipliĂ© par đ‘„ moins quatre au carrĂ© moins trois.

Tout d’abord, nous rappelons que l’ensemble de dĂ©finition est l’ensemble de toutes les valeurs sur lesquelles la fonction agit, que nous pouvons Ă©galement considĂ©rer comme l’ensemble des valeurs d’entrĂ©e de la fonction. Comme la fonction 𝑓 de đ‘„ est un polynĂŽme et, plus prĂ©cisĂ©ment, une expression du second degrĂ©, il n’y a aucune restriction sur les valeurs sur lesquelles elle peut agir. Par consĂ©quent, nous disons que l’ensemble de dĂ©finition de cette fonction est l’ensemble de tous les nombres rĂ©els.

L’ensemble image d’une fonction est l’ensemble de toutes les valeurs produites par la fonction, que nous pouvons considĂ©rer comme l’ensemble de toutes les valeurs de sortie. Pour dĂ©terminer l’ensemble image d’une fonction du second degrĂ©, nous pouvons considĂ©rer son tournant. Maintenant, cette fonction du second degrĂ© nous a Ă©tĂ© donnĂ©e sous sa forme carrĂ©e ou vertex terminĂ©e. 𝑓 de đ‘„ est Ă©gale Ă  𝑎 multipliĂ© par đ‘„ plus 𝑝 le tout au carrĂ© plus 𝑞. Et nous savons que lorsqu’une fonction du second degrĂ© est donnĂ©e sous cette forme, son sommet a les coordonnĂ©es moins 𝑝, 𝑞. La valeur de 𝑝 pour notre expression du second degrĂ© est moins quatre, et la valeur de 𝑞 est moins trois. Ainsi, le sommet sera Ă  moins moins quatre, c’est-Ă -dire quatre, moins trois.

Comme la valeur de 𝑎, le coefficient de đ‘„ au carrĂ© dans notre fonction du second degrĂ©, est quatre, ce qui est positif, nous savons que sa courbe sera une parabole qui se courbe vers le haut. Donc, ce sommet de quatre, moins trois sera un point minimum. Les valeurs possibles de 𝑓 de đ‘„ seront alors toutes les valeurs Ă  partir de cette valeur minimale de la fonction moins trois vers le haut.

Nous pouvons l’exprimer soit comme 𝑓 de đ‘„ est supĂ©rieur ou Ă©gal Ă  moins trois ou en utilisant la notation d’intervalle comme l’intervalle de moins trois Ă  ∞, qui est fermĂ© Ă  l’extrĂ©mitĂ© infĂ©rieure et ouvert Ă  l’extrĂ©mitĂ© supĂ©rieure. Nous pouvons alors rĂ©pondre au problĂšme en disant que l’ensemble de dĂ©finition de cette fonction est l’ensemble de tous les nombres rĂ©els et l’ensemble image est l’intervalle de moins trois Ă  ∞, qui est fermĂ© Ă  l’extrĂ©mitĂ© infĂ©rieure et ouvert Ă  l’extrĂ©mitĂ© supĂ©rieure.

Dans cet exemple, nous verrons comment utiliser les caractĂ©ristiques clĂ©s d’une fonction du second degrĂ© pour identifier sa courbe.

Pour la fonction 𝑓 de đ‘„ Ă©gale đ‘„ au carrĂ© moins quatre đ‘„ plus trois, rĂ©pondez aux questions suivantes. Tout d’abord, trouvez en factorisant les zĂ©ros de la fonction. DeuxiĂšmement, identifiez la courbe de 𝑓.

Cette question comporte Ă©galement deux autres parties. Donc tout d’abord, on nous demande de trouver les zĂ©ros de cette fonction. Et la mĂ©thode qu’on nous dit d’utiliser est la factorisation. Nous devons donc Ă©crire notre expression du second degrĂ© comme le produit de deux facteurs linĂ©aires. Comme le coefficient de đ‘„ au carrĂ© est un, nous savons que le premier terme de chacune de nos parenthĂšses sera đ‘„. Nous recherchons alors deux nombres dont la somme est le coefficient de đ‘„, c’est moins quatre, et dont le produit est le terme constant, c’est plus trois.

Eh bien, les deux nombres qui correspondent Ă  ces deux critĂšres sont moins un et moins trois. Moins un plus moins trois est moins quatre, et moins un multipliĂ© par moins trois est trois positifs. Donc, nos facteurs du second degrĂ© comme đ‘„ moins un multipliĂ© par đ‘„ moins trois, ce que nous pouvons bien sĂ»r confirmer en redistribuant les parenthĂšses si nous le souhaitons.

Nous devons utiliser cette forme factorisĂ©e pour dĂ©terminer les zĂ©ros de la fonction, dont nous rappelons que les valeurs đ‘„ sont telles que 𝑓 de đ‘„ est Ă©gale Ă  zĂ©ro. Si nous mettons cette forme factorisĂ©e Ă  zĂ©ro, nous rappelons alors que pour que le produit de deux choses soit nul, au moins l’une d’elles doit ĂȘtre elle-mĂȘme nulle. Nous pouvons donc prendre chaque facteur Ă  tour de rĂŽle et le mettre Ă  zĂ©ro, donnant deux Ă©quations linĂ©aires simples. La premiĂšre peut ĂȘtre rĂ©solue en ajoutant un de chaque cĂŽtĂ© pour donner đ‘„ est Ă©gal Ă  un, et la seconde peut ĂȘtre rĂ©solue en ajoutant trois de chaque cĂŽtĂ© pour donner đ‘„ est Ă©gal Ă  trois. Les racines ou zĂ©ros de cette fonction sont alors les valeurs un et trois.

Maintenant, dans la deuxiĂšme partie de la question, on nous demande d’identifier la courbe de notre fonction 𝑓. Et nous pouvons voir que nous avons eu trois possibilitĂ©s : une bleue, une rouge et une verte. Maintenant, nous venons de dĂ©couvrir que notre courbe a des zĂ©ros en un et trois. Et rappelez-vous, ces zĂ©ros sont les valeurs de đ‘„ en lesquelles la courbe croise l’axe des đ‘„. Donc, si notre courbe croise l’axe des đ‘„ Ă  un et trois, nous pouvons voir sur la figure que cela ne laisse que les courbes rouge et verte. La courbe bleue croise l’axe des đ‘„ ou comporte des zĂ©ros aux valeurs de moins un et de moins trois.

Maintenant, il nous suffit de choisir entre les courbes rouge et vert, que nous voyons comme des images miroir les uns des autres. L’une est une parabole incurvĂ©e vers le haut, et l’autre est une parabole incurvĂ©e vers le bas. Nous rappelons que le type de parabole que nous avons sera dĂ©terminĂ© par la valeur de 𝑎. C’est le coefficient de đ‘„ au carrĂ©. Dans notre fonction, le coefficient de đ‘„ au carrĂ© est un. C’est une valeur positive, ce qui signifie que la parabole se courbera vers le haut. Cela signifie alors que la courbe de notre fonction 𝑓 doit ĂȘtre la courbe rouge. Il a les bons zĂ©ros et la bonne forme. Nous pouvons Ă©galement voir que l’ordonnĂ©e Ă  l’origine 𝑩 de cette courbe est de trois, ce qui est en effet le terme constant dans notre fonction 𝑓 de đ‘„.

Les deux autres parties de la question, que je n’ai pas Ă©crites au dĂ©part parce qu’elles donnent le jeu pour la partie prĂ©cĂ©dente. Écrivez l’équation pour 𝑔, la fonction qui dĂ©crit la courbe bleue. Et Ă©crivez l’équation pour ℎ, la fonction qui dĂ©crit la courbe verte.

Regardons d’abord cette courbe bleue. Nous avons dĂ©jĂ  dit qu’il avait des zĂ©ros Ă  moins un et Ă  moins trois. Cela signifie que dans sa forme factorisĂ©e, il a des facteurs de đ‘„ plus un et đ‘„ plus trois. Mais il pourrait aussi y avoir un facteur 𝑎 que nous multiplions. Pour dĂ©terminer si la valeur de 𝑎 est une ou autre chose, nous considĂ©rons l’interception 𝑩 de la courbe, que nous pouvons voir est la mĂȘme que l’interception 𝑩 de la courbe rouge. C’est trois. Lorsque nous multiplions ces deux facteurs ensemble, le terme constant sera un multipliĂ© par trois, ce qui est en fait trois. Et cela nous dit donc que la valeur de 𝑎 est simplement une. Notre fonction 𝑔 dans sa forme factorisĂ©e est alors đ‘„ plus un multipliĂ© par đ‘„ plus trois. Si nous distribuons les parenthĂšses, nous avons 𝑔 de đ‘„ Ă©gal Ă  đ‘„ au carrĂ© plus quatre đ‘„ plus trois.

Pour la courbe verte, il a les mĂȘmes zĂ©ros que notre fonction 𝑓. On peut donc l’écrire comme 𝑎 multipliĂ© par đ‘„ moins un multipliĂ© par đ‘„ moins trois. Et encore une fois, nous devons dĂ©terminer si la valeur de 𝑎 est une ou autre chose. Eh bien, l’interception 𝑩 pour la courbe verte est moins trois. Si nous multiplions ensemble moins un et moins trois, nous obtenons une valeur positive de trois. Et donc pour garantir que l’interception 𝑩, le terme constant sous la forme dĂ©veloppĂ©e de ℎ de đ‘„, est moins trois, nous avons besoin que la valeur de 𝑎 soit nĂ©gative.

L’équation ℎ de đ‘„ est alors moins đ‘„ moins un multipliĂ©e par đ‘„ moins trois. En fait, c’est l’opposĂ© complet de notre fonction 𝑓 de đ‘„, que nous pouvons aussi voir car ce sont des reflets les uns des autres par rapport Ă  l’axe des đ‘„. On peut alors Ă©crire l’équation ℎ de đ‘„ comme l’opposĂ© complet de notre fonction 𝑓 de đ‘„. ℎ de đ‘„ est Ă©gal Ă  moins đ‘„ moins quatre đ‘„ plus trois.

RĂ©sumons maintenant certains des points clĂ©s de cette vidĂ©o. Les fonctions du second degrĂ© peuvent ĂȘtre exprimĂ©es sous leur forme dĂ©veloppĂ©e, 𝑓 de đ‘„ est Ă©gale Ă  đ‘Žđ‘„ au carrĂ© plus đ‘đ‘„ plus 𝑐. Ou leur forme de carrĂ© complĂ©tĂ© ou canonique, 𝑓 de đ‘„ est Ă©gale Ă  𝑎 multipliĂ© par đ‘„ plus 𝑝 le tout au carrĂ© plus 𝑞, oĂč 𝑎, 𝑏, 𝑐, 𝑝 et 𝑞 sont toutes des constantes et 𝑎 ne doit pas ĂȘtre Ă©gal Ă  zĂ©ro. La courbe d’une fonction du second degrĂ© est une parabole. Et si 𝑎 est positif, la parabole s’ouvrira vers le haut, alors que si 𝑎 est nĂ©gatif, la parabole s’ouvrira vers le bas.

Le point tournant ou le sommet d’une parabole peut ĂȘtre trouvĂ© Ă  partir de sa forme de carrĂ© complĂ©tĂ© ou canonique. Et dans le cas gĂ©nĂ©ral, le sommet aura des coordonnĂ©es moins 𝑝, 𝑞. La parabole aura Ă©galement un axe de symĂ©trie, qui est une droite verticale passant par ce point, avec l’équation đ‘„ Ă©gale moins 𝑝.

L’ensemble de dĂ©finition de toute fonction du second degrĂ© est l’ensemble de tous les nombres rĂ©els, sauf indication contraire. Et l’ensemble image peut ĂȘtre trouvĂ©e Ă  partir du graphique ou de la forme carrĂ©e complĂ©tĂ©e. Lorsque 𝑎 est positif, l’ensemble image sera 𝑓 de đ‘„ est supĂ©rieure ou Ă©gale Ă  𝑞. Et lorsque 𝑎 est nĂ©gatif, l’ensemble image sera 𝑓 de đ‘„ est infĂ©rieure ou Ă©gale Ă  𝑞.

Dans cette vidĂ©o, nous avons vu comment utiliser la courbe ou l’équation d’une fonction du second degrĂ© pour dĂ©terminer ces caractĂ©ristiques clĂ©s.

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