Vidéo de la leçon: Règle de L’Hôpital | Nagwa Vidéo de la leçon: Règle de L’Hôpital | Nagwa

VidĂ©o de la leçon: RĂšgle de L’HĂŽpital Mathématiques

Dans cette vidĂ©o, nous allons apprendre comment appliquer la rĂšgle de l’HĂŽpital pour Ă©valuer les limites dans les cas d’indĂ©termination 0/0 et ∞/∞.

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Transcription de la vidéo

La rùgle de l’Hîpital.

Dans cette vidĂ©o, nous allons apprendre Ă  appliquer la rĂšgle de L’HĂŽpital pour Ă©valuer les limites dans les cas d’indĂ©termination zĂ©ro sur zĂ©ro, l’infini sur l’infini et moins l’infini sur moins l’infini. Nous allons voir quelques exemples sur l’utilisation de la rĂšgle de L’HĂŽpital.

Commençons par considĂ©rer une limite. Et c’est la limite lorsque đ‘„ tend vers zĂ©ro de đ‘„ sur sin de cinq đ‘„. Si nous voulons Ă©valuer cette limite, nous pouvons commencer par essayer d’utiliser la substitution directe. Nous obtenons zĂ©ro sur sin de cinq fois zĂ©ro. Puisque cinq fois zĂ©ro est juste zĂ©ro, cela Ă©quivaut Ă  zĂ©ro sur sin de zĂ©ro. Sin de zĂ©ro donne zĂ©ro. Donc, cela doit ĂȘtre Ă©gal Ă  zĂ©ro sur zĂ©ro, ce qui est indĂ©fini. Ainsi, cette limite ne peut pas ĂȘtre Ă©valuĂ©e directement en utilisant une substitution directe.

En fait, aucune des techniques connues jusqu’à prĂ©sent ne peut ĂȘtre utilisĂ©e pour Ă©valuer cette limite. C’est ici qu’intervient la rĂšgle de L’HĂŽpital. La rĂšgle de L’HĂŽpital nous dit que si la limite lorsque đ‘„ tend vers 𝑎 d’une certaine 𝑓 de đ‘„ sur 𝑔 de đ‘„ Ă©gale zĂ©ro sur zĂ©ro, ou la limite lorsque đ‘„ tend vers 𝑎 de 𝑓 de đ‘„ sur 𝑔 de đ‘„ Ă©gale plus ou moins l’infini sur plus ou moins l’infini. OĂč 𝑎 est un nombre rĂ©el quelconque, l’infini positif ou l’infini nĂ©gatif. Alors, la limite lorsque đ‘„ tend vers 𝑎 de 𝑓 de đ‘„ sur 𝑔 de đ‘„ Ă©gale la limite lorsque đ‘„ tend vers 𝑎 de 𝑓 prime de đ‘„ sur 𝑔 prime de đ‘„.

Ce qu’il faut noter avec la rĂšgle de L’HĂŽpital c’est que, pour que cela fonctionne, 𝑓 de đ‘„ et 𝑔 de đ‘„ doivent ĂȘtre dĂ©rivables. Et aussi avec notre condition, quand nous disons que la limite lorsque đ‘„ tend vers 𝑎 de 𝑓 de đ‘„ sur 𝑔 de đ‘„ peut ĂȘtre Ă©gale Ă  plus ou moins l’infini sur plus ou moins l’infini. Elle doit ĂȘtre Ă©gale Ă  plus l’infini sur plus l’infini ou moins l’infini sur moins l’infini. La rĂšgle ne s’applique pas lorsque la limite est Ă©gale Ă  plus l’infini sur moins l’infini, ou moins l’infini sur plus l’infini.

Maintenant que nous avons couvert la dĂ©finition de la rĂšgle de L’HĂŽpital, appliquons-la Ă  la limite que nous essayons de dĂ©terminer. C’est donc la limite lorsque đ‘„ tend vers zĂ©ro de đ‘„ sur sin de cinq đ‘„. Et nous avons vu qu’en utilisant la substitution directe, notre limite Ă©gale zĂ©ro sur zĂ©ro. Donc elle satisfait Ă  la premiĂšre condition de la rĂšgle de L’HĂŽpital. Nous pouvons voir que la valeur de 𝑎 dans notre limite est zĂ©ro. Puisque 𝑎 est un nombre rĂ©el, donc la limite satisfait aussi Ă  la deuxiĂšme condition. Nous pouvons maintenant dire que 𝑓 de đ‘„ est Ă©gale Ă  đ‘„ et 𝑔 de đ‘„ est Ă©gale Ă  sin de cinq đ‘„. Clairement, ces deux fonctions, 𝑓 et 𝑔, sont dĂ©rivables. Nous sommes donc prĂȘts Ă  appliquer la rĂšgle de L’HĂŽpital.

Nous devons d’abord dĂ©terminer 𝑓 prime de đ‘„ et 𝑔 prime de đ‘„. En dĂ©rivant đ‘„ par rapport Ă  đ‘„, nous trouvons que 𝑓 prime de đ‘„ Ă©gale un. Afin de dĂ©terminer 𝑔 prime de đ‘„, nous devons dĂ©river sin de cinq đ‘„. Celle-ci est une fonction composĂ©e. Ainsi, nous devons utiliser la rĂšgle de dĂ©rivation en chaĂźne. Nous dĂ©rivons la partie intĂ©rieure de la fonction — donc cinq đ‘„ — pour obtenir une constante de cinq. Ensuite, nous dĂ©rivons le sinus pour obtenir cos de cinq đ‘„, ce qui nous donne 𝑔 prime de đ‘„ est Ă©gale cinq cos de cinq đ‘„.

En appliquant la rĂšgle de L’HĂŽpital, on peut dire que la limite lorsque đ‘„ tend vers zĂ©ro de đ‘„ sur sin de cinq đ‘„ est Ă©gale Ă  la limite lorsque đ‘„ tend vers zĂ©ro de un sur cinq cos de cinq đ‘„. Et maintenant, nous pouvons simplement utiliser la substitution directe. Et nous voyons que notre limite est Ă©gale Ă  un sur cinq fois cos de cinq fois zĂ©ro. Cinq fois zĂ©ro est tout simplement zĂ©ro. Et cos de zĂ©ro est simplement un. Ainsi, nous pouvons dire que notre limite est Ă©gale Ă  un sur cinq fois un, ce qui est simplement un cinquiĂšme.

La rĂšgle de L’HĂŽpital peut ĂȘtre trĂšs utile pour dĂ©terminer les limites des fonctions qui semblent ne pas exister. Regardons un exemple.

DĂ©terminez la limite lorsque đ‘„ tend vers zĂ©ro de sept 𝑒 Ă  la puissance cinq đ‘„ moins sept sur moins 𝑒 Ă  la puissance huit đ‘„ plus un.

Nous commencerons par essayer de rĂ©soudre cette limite en utilisant la substitution directe. Nous obtenons sept fois 𝑒 Ă  la puissance cinq fois zĂ©ro moins sept sur moins 𝑒 Ă  la puissance huit fois zĂ©ro plus un. Puisque 𝑒 Ă  la puissance zĂ©ro Ă©gale un, nous trouvons que cela Ă©gale sept moins sept sur moins un plus un, ce qui est simplifiĂ© en zĂ©ro sur zĂ©ro. Cependant, ceci n’est pas dĂ©fini. Bien que nous obtenions que notre limite soit indĂ©finie par substitution directe, elle est Ă©gale Ă  zĂ©ro sur zĂ©ro. Et cela nous dit que nous pourrons peut-ĂȘtre utiliser la rĂšgle de L’HĂŽpital.

La rĂšgle de L’HĂŽpital nous dit que si la limite lorsque đ‘„ tend vers 𝑎 de 𝑓 de đ‘„ sur 𝑔 de đ‘„ est Ă©gale Ă  zĂ©ro sur zĂ©ro, plus l’infini sur plus l’infini, ou moins l’infini sur moins l’infini. OĂč 𝑎 est un nombre rĂ©el, plus l’infini ou moins l’infini. Alors, la limite lorsque đ‘„ tend vers 𝑎 de 𝑓 de đ‘„ sur 𝑔 de đ‘„ est Ă©gale Ă  la limite lorsque đ‘„ tend vers 𝑎 de 𝑓 prime de đ‘„ sur 𝑔 prime de đ‘„.

Notre limite satisfait Ă  la condition que notre limite soit Ă©gale Ă  zĂ©ro sur zĂ©ro. Et puisque nous prenons la limite lorsque đ‘„ tend vers zĂ©ro, cela signifie que notre 𝑎 Ă©gale zĂ©ro, ce qui correspond Ă  un nombre rĂ©el. Nous pouvons donc utiliser la rĂšgle de L’HĂŽpital. 𝑓 de đ‘„ est le numĂ©rateur de la fonction dont nous prenons la limite. Donc, ça fait sept 𝑒 Ă  la puissance cinq đ‘„ moins sept. Et 𝑔 de đ‘„ est le dĂ©nominateur. Donc, cela est moins 𝑒 Ă  la puissance huit đ‘„ plus un.

Maintenant nous devons trouver 𝑓 prime de đ‘„ et 𝑔 prime de đ‘„. Puisque nous allons dĂ©river les termes exponentiels, nous pouvons utiliser la rĂšgle qui nous dit que la dĂ©rivĂ©e de 𝑒 Ă  la puissance đ‘˜đ‘„ par rapport Ă  đ‘„ est Ă©gale Ă  𝑘 fois 𝑒 Ă  la puissance đ‘˜đ‘„. DĂ©rivons 𝑓 de đ‘„ terme par terme. Sept 𝑒 Ă  la puissance cinq đ‘„ est un terme exponentiel. Nous allons donc utiliser la rĂšgle que nous venons d’énoncer. Notre valeur de 𝑘 est cinq. Et nous remarquons que nous avons une constante de sept qui multiplie notre terme exponentiel. Donc cela doit rester deux, nous donnant sept multipliĂ© par cinq 𝑒 Ă  la puissance cinq đ‘„. Donc sept fois cinq est 35. Nous pouvons donc Ă©crire cela comme 35𝑒 Ă  la puissance cinq đ‘„.

Le deuxiĂšme terme dans 𝑓 de đ‘„ est moins sept, qui est simplement une constante. Et lorsque nous dĂ©rivons une constante, nous obtenons simplement zĂ©ro. Nous avons donc trouvĂ© que 𝑓 prime de đ‘„ est Ă©gale Ă  35𝑒 Ă  la puissance cinq đ‘„. Le premier terme dans 𝑔 de đ‘„ est moins 𝑒 Ă  la puissance huit đ‘„, ce qui est encore un terme exponentiel. En utilisant notre rĂšgle, nous obtenons que le dĂ©rivĂ© de ce terme soit moins huit 𝑒 Ă  la puissance huit đ‘„. Le deuxiĂšme terme dans 𝑔 de đ‘„ est un, ce qui est encore une constante. Et dĂ©rivĂ©, ça nous donne zĂ©ro.

Nous sommes maintenant prĂȘts Ă  appliquer la rĂšgle de L’HĂŽpital. Nous obtenons que la limite lorsque đ‘„ tend vers zĂ©ro de sept 𝑒 Ă  la puissance cinq đ‘„ moins sept sur moins 𝑒 Ă  la puissance huit đ‘„ plus un. Est Ă©gale Ă  la limite lorsque đ‘„ tend vers zĂ©ro de 35 fois 𝑒 Ă  la puissance cinq đ‘„ sur moins huit fois 𝑒 Ă  la puissance huit đ‘„. Et nous pouvons maintenant appliquer la substitution directe, qui nous donne 35 multipliĂ© par 𝑒 Ă  la puissance zĂ©ro sur moins huit multipliĂ© par 𝑒 Ă  la puissance zĂ©ro. Puisque 𝑒 Ă  la puissance zĂ©ro Ă©gale un, nous obtenons une solution selon laquelle notre limite doit ĂȘtre Ă©gale Ă  35 sur huit.

Voyons ensuite un exemple qui rĂ©pond Ă  une condition diffĂ©rente de la rĂšgle de L’HĂŽpital.

Trouvez la limite lorsque đ‘„ tend vers l’infini de deux fois 𝑒 Ă  la puissance trois đ‘„ moins cinq sur trois fois 𝑒 Ă  la puissance trois đ‘„ moins un.

Nous pouvons commencer par essayer de dĂ©terminer cette limite par substitution directe. Nous utiliserons le fait que la limite lorsque đ‘„ tend vers l’infini de 𝑒 Ă  la puissance đ‘„ Ă©gale Ă  plus l’infini. On en dĂ©duit que la limite lorsque đ‘„ tend vers l’infini de 𝑒 Ă  la puissance trois đ‘„ est aussi Ă©gale Ă  plus l’infini. Et cela nous dit que lorsque nous utilisons la substitution directe pour trouver notre limite, nous constatons qu’elle est Ă©gale Ă  plus l’infini sur plus l’infini. Et ceci est indĂ©fini. Ainsi, nous n’avons pas encore trouvĂ© de solution.

Cependant, le fait qu’elle Ă©gale plus l’infini sur plus l’infini nous indique que nous pouvons utiliser la rĂšgle de L’HĂŽpital. La rĂšgle de L’HĂŽpital nous dit que si la limite lorsque đ‘„ tend vers 𝑎 de 𝑓 de đ‘„ sur 𝑔 de đ‘„ est Ă©gale Ă  zĂ©ro sur zĂ©ro, plus l’infini sur plus l’infini ou moins l’infini sur moins l’infini. OĂč 𝑎 est un nombre rĂ©el, plus l’infini ou moins l’infini. Alors, la limite lorsque đ‘„ tend vers 𝑎 de 𝑓 de đ‘„ sur 𝑔 de đ‘„ est Ă©gale Ă  la limite lorsque đ‘„ tend vers 𝑎 de 𝑓 prime de đ‘„ sur 𝑔 prime de đ‘„.

Maintenant, notre limite est Ă©gale Ă  l’infini sur l’infini. Et nous prenons la limite lorsque đ‘„ tend vers plus l’infini. Ainsi, on a le droit d’utiliser la rĂšgle de L’HĂŽpital. Dans notre cas, 𝑓 de đ‘„ Ă©gale deux fois 𝑒 Ă  la puissance trois đ‘„ moins cinq. Et 𝑔 de đ‘„ Ă©gale trois fois 𝑒 Ă  la puissance trois đ‘„ moins un.

Nous trouvons 𝑓 prime et 𝑔 prime en dĂ©rivant 𝑓 et 𝑔. En dĂ©rivant deux 𝑒 Ă  la puissance trois đ‘„ moins cinq par rapport Ă  đ‘„, on obtient que 𝑓 prime de đ‘„ doit ĂȘtre Ă©gale Ă  six 𝑒 Ă  la puissance trois đ‘„. Et en dĂ©rivant trois fois 𝑒 Ă  la puissance trois đ‘„ moins un par rapport Ă  đ‘„, nous obtenons que 𝑔 prime de đ‘„ doit ĂȘtre Ă©gale Ă  neuf 𝑒 Ă  la puissance trois đ‘„. Nous obtenons que notre limite doive ĂȘtre Ă©gale Ă  la limite lorsque đ‘„ tend vers l’infini de six fois 𝑒 Ă  la puissance trois đ‘„ sur neuf fois 𝑒 Ă  la puissance trois đ‘„.

Nous remarquons ici que nous avons un facteur de trois fois 𝑒 Ă  la puissance trois đ‘„ Ă  la fois au numĂ©rateur et au dĂ©nominateur. Puisque nous pouvons Ă©crire notre numĂ©rateur comme deux fois trois 𝑒 Ă  la puissance trois đ‘„, et notre dĂ©nominateur comme trois fois trois 𝑒 Ă  la puissance trois đ‘„. Ainsi, ces facteurs de trois fois 𝑒 Ă  la puissance trois đ‘„ s’annulent, nous laissant avec la limite lorsque đ‘„ tend vers l’infini de deux sur trois. Comme il n’y a pas de dĂ©pendance đ‘„ dans notre limite, notre limite Ă©gale simplement deux tiers. Et c’est la solution Ă  la question.

Plusieurs diffĂ©rentes limites reprĂ©sentent des cas d’indĂ©termination oĂč il faut appliquer la rĂšgle de L’HĂŽpital. ConsidĂ©rons les exemples suivants.

DĂ©terminez la limite lorsque đ‘„ tend vers un Ă  la puissance moins 11 fois le logarithme naturel de đ‘„ sur moins neuf đ‘„ plus neuf.

Pour commencer, essayons de trouver cette limite en utilisant la substitution directe. On obtient moins 11 multipliĂ© par le logarithme naturel de un sur moins neuf plus neuf. Nous utiliserons le fait que le logarithme naturel de un est Ă©gal Ă  zĂ©ro. Et cela nous donne que notre limite Ă©gale zĂ©ro sur zĂ©ro, donc indĂ©finie. C’est cependant la principale condition Ă  remplir pour pouvoir appliquer la rĂšgle de L’HĂŽpital.

C’est la rĂšgle de L’HĂŽpital. Et puisque notre limite Ă©gale zĂ©ro sur zĂ©ro, nous pouvons voir que nous avons rĂ©pondu Ă  la premiĂšre condition. Nous prenons la limite lorsque đ‘„ tend vers un. On peut donc dire que 𝑎 Ă©gale un. Et un est un nombre rĂ©el. Par consĂ©quent, nous avons rĂ©pondu Ă  la deuxiĂšme condition. Et cela signifie que nous pouvons utiliser la rĂšgle de L’HĂŽpital. On peut dire que 𝑓 de đ‘„ est Ă©gale Ă  moins 11 fois le logarithme naturel de đ‘„. Et 𝑔 de đ‘„ est Ă©gale Ă  neuf đ‘„ plus neuf.

Pour dĂ©river 𝑓 par rapport Ă  đ‘„, nous utiliserons le fait que le dĂ©rivĂ© du logarithme naturel de đ‘„ par rapport Ă  đ‘„ est Ă©gal Ă  un sur đ‘„. Puisque 𝑓 de đ‘„ est une constante multipliĂ©e par le logarithme naturel de đ‘„, oĂč la constante est Ă©gale Ă  moins 11, nous obtenons donc que 𝑓 prime de đ‘„ est Ă©gale Ă  moins 11 sur đ‘„. Maintenant, 𝑔 de đ‘„ est Ă©gale Ă  neuf đ‘„ plus neuf, ce qui est simplement un polynĂŽme. Nous pouvons donc la dĂ©river en utilisant la rĂšgle de puissance pour la dĂ©rivation, ce qui nous donne que 𝑔 prime de đ‘„ est Ă©gale Ă  moins neuf.

Nous pouvons maintenant appliquer la formule de la rĂšgle de L’HĂŽpital, qui dit que la limite lorsque đ‘„ tend vers 𝑎 de 𝑓 de đ‘„ sur 𝑔 de đ‘„ Ă©gale la limite lorsque đ‘„ tend vers 𝑎 de 𝑓 prime de đ‘„ sur 𝑔 prime de đ‘„. Ce qui nous indique que la limite lorsque đ‘„ tend vers un Ă  la puissance moins 11 fois le logarithme naturel de đ‘„ sur moins neuf plus neuf. Est Ă©gale Ă  la limite lorsque đ‘„ tend vers un Ă  la puissance moins 11 sur moins neuf đ‘„. Nous voyons que nous avons un facteur qui est moins un au numĂ©rateur et au dĂ©nominateur. Et ainsi, ils peuvent ĂȘtre annulĂ©s, ce qui nous donne la limite lorsque đ‘„ tend vers un Ă  la puissance 11 sur neuf đ‘„. Et ici, nous pouvons appliquer une substitution directe, qui nous donne 11 sur neuf fois un. Cela nous donne la solution, notre limite Ă©gale 11 sur neuf.

Dans l’exemple suivant, nous verrons comment utiliser la rĂšgle de L’HĂŽpital pour trouver un autre rĂ©sultat.

Etant donnĂ©es les fonctions 𝑓 minuscule et đč majuscule qui sont positives pour les grandes valeurs de đ‘„, nous disons que đč majuscule est prĂ©pondĂ©rante devant 𝑓 minuscule lorsque đ‘„ tend vers l’infini si la limite lorsque đ‘„ tend vers l’infini de 𝑓 minuscule de đ‘„ sur đč majuscule de đ‘„ est Ă©gale Ă  zĂ©ro. Utilisez la rĂšgle de L’HĂŽpital pour dĂ©terminer qui est prĂ©pondĂ©rant lorsque đ‘„ tend vers l’infini. Le logarithme naturel de đ‘„ ou la racine carrĂ©e de đ‘„.

En utilisant la dĂ©finition de prĂ©pondĂ©rance donnĂ©e dans la question, pour dire si le logarithme naturel de đ‘„ ou la racine carrĂ©e de đ‘„ sont prĂ©pondĂ©rants. Nous devons montrer que, soit la limite lorsque đ‘„ tend vers l’infini du logarithme naturel de đ‘„ sur la racine carrĂ©e de đ‘„ Ă©gale zĂ©ro. Soit la limite lorsque đ‘„ tend vers l’infini de la racine carrĂ©e de đ‘„ sur le logarithme naturel de đ‘„ Ă©gale zĂ©ro.

Commençons par examiner la derniĂšre de ces deux options. Nous devons trouver la limite lorsque đ‘„ tend vers l’infini de la racine carrĂ©e de đ‘„ sur le logarithme naturel de đ‘„. Puisque la racine carrĂ©e de đ‘„ et le logarithme naturel de đ‘„ sont tous deux des fonctions croissantes, nous savons que la limite de chacune d’elles individuellement lorsque đ‘„ tend vers plus l’infini sera plus l’infini. Ainsi, la limite lorsque đ‘„ tend vers plus l’infini de la racine carrĂ©e de đ‘„ sur le logarithme naturel de đ‘„ Ă©gale l’infini sur l’infini. Et ceci est indĂ©fini. Cependant, cela nous donne la principale condition pour utiliser la rĂšgle de L’HĂŽpital.

La rĂšgle de L’HĂŽpital nous dit que si la limite lorsque đ‘„ tend vers 𝑎 de 𝑓 de đ‘„ sur 𝑔 de đ‘„ Ă©gale zĂ©ro sur zĂ©ro, plus l’infini sur plus l’infini ou moins l’infini sur moins l’infini. OĂč 𝑎 est un nombre rĂ©el, plus l’infini ou moins l’infini. Alors la limite lorsque đ‘„ tend vers 𝑎 de 𝑓 de đ‘„ sur 𝑔 de đ‘„ est Ă©gale Ă  la limite lorsque đ‘„ tend vers 𝑎 de 𝑓 prime de đ‘„ sur 𝑔 prime de đ‘„.

Maintenant, puisque notre limite est Ă©gale Ă  plus l’infini sur plus l’infini, nous avons satisfait Ă  la premiĂšre condition. Et nous prenons la limite lorsque đ‘„ tend vers plus l’infini. Ainsi, nous avons Ă©galement satisfait Ă  la deuxiĂšme condition. Nous pouvons donc utiliser la rĂšgle de L’HĂŽpital.

Nous avons que 𝑓 de đ‘„ est Ă©gale Ă  la racine carrĂ©e de đ‘„ et 𝑔 de đ‘„ est Ă©gale au logarithme naturel de đ‘„. La racine carrĂ©e de đ‘„ est Ă©gale Ă  đ‘„ Ă  la puissance d’un demi. Et donc, pour trouver 𝑓 prime de đ‘„, nous allons utiliser la rĂšgle de puissance pour la dĂ©rivation. Nous multiplions par la puissance et diminuons la puissance un, ce qui nous donne que 𝑓 prime de đ‘„ Ă©gale un demi fois đ‘„ Ă  la puissance moins un demi.

Pour diffĂ©rencier 𝑔 de đ‘„ par rapport Ă  đ‘„, nous utilisons le fait que le dĂ©rivĂ© du logarithme naturel de đ‘„ par rapport Ă  đ‘„ est Ă©gal Ă  un sur đ‘„. Et ainsi 𝑔 prime de đ‘„ est Ă©gale Ă  un sur đ‘„. En appliquant la rĂšgle de L’HĂŽpital, nous trouvons que notre limite est Ă©gale Ă  la limite puisque đ‘„ tend vers l’infini de đ‘„ Ă  la puissance moins un demi sur deux fois un sur đ‘„.

En simplifiant, nous obtenons la limite lorsque đ‘„ tend vers l’infini de đ‘„ sur deux fois đ‘„ Ă  la puissance un demi. Nous pouvons maintenant annuler un facteur de đ‘„ Ă  la puissance un demi du haut et du bas. Nous obtenons la limite lorsque đ‘„ tend vers l’infini de đ‘„ Ă  la puissance un demi sur deux. Et le seul terme đ‘„ ici est Ă©levĂ© Ă  une puissance positive. Et il se trouve au numĂ©rateur de la fraction. Par consĂ©quent, cette limite Ă©gale l’infini. Et donc elle n’égale pas zĂ©ro. Et nous pouvons en conclure que le logarithme naturel de đ‘„ n’est pas prĂ©pondĂ©rant devant la racine carrĂ©e de.

Voyons maintenant si la limite đ‘„ tend vers l’infini du logarithme naturel de đ‘„ sur la racine carrĂ©e de đ‘„ Ă©gale zĂ©ro. Or, le logarithme naturel de đ‘„ sur la racine carrĂ©e de đ‘„ est l’inverse de la racine carrĂ©e de đ‘„ sur le logarithme naturel de đ‘„. Et donc, lorsque nous utilisons la substitution directe pour trouver la limite lorsque đ‘„ tend vers l’infini, nous allons Ă  nouveau obtenir l’infini sur l’infini. On peut donc dire que la limite lorsque đ‘„ tend vers l’infini du logarithme naturel de đ‘„ sur la racine carrĂ©e de đ‘„ doit ĂȘtre Ă©gale Ă  l’infini sur l’infini, qui est encore indĂ©fini. Cependant, cela nous a permis d’utiliser la rĂšgle de L’HĂŽpital, ces deux conditions Ă©tant remplies.

Notre limite est Ă©gale Ă  plus l’infini sur plus l’infini. Et nous prenons la limite lorsque đ‘„ tend vers plus l’infini. Puisque nous prenons la limite de la fonction rĂ©ciproque, alors 𝑓 et 𝑔 seront inversĂ©es. Ainsi, pour notre derniĂšre ligne de travail, nous allons simplement prendre la limite de la fonction rĂ©ciproque. Et puisque la limite lorsque đ‘„ tend vers l’infini de la racine carrĂ©e de đ‘„ sur le logarithme naturel de đ‘„ est Ă©gale Ă  la limite lorsque đ‘„ tend vers l’infini de đ‘„ Ă  la puissance un demi sur deux. Cela nous dit que la limite lorsque đ‘„ tend vers l’infini du logarithme naturel de đ‘„ sur la racine carrĂ©e de đ‘„ sera Ă©gale Ă  la limite lorsque đ‘„ tend vers l’infini de la rĂ©ciproque de đ‘„ Ă  la puissance un demi sur deux. Et c’est la limite lorsque đ‘„ tend vers l’infini de deux sur đ‘„ Ă  la puissance un demi.

Dans cette limite, notre đ‘„ est Ă©levĂ© Ă  la puissance positive d’un demi. Cependant, il se trouve au dĂ©nominateur de la fraction. Et donc, si nous prenons la limite lorsque đ‘„ tend vers l’infini, elle sera Ă©gale Ă  zĂ©ro. Nous avons donc montrĂ© que la limite lorsque đ‘„ tend vers l’infini du logarithme naturel de đ‘„ sur la racine carrĂ©e de đ‘„ est Ă©gale Ă  zĂ©ro. Nous pouvons en conclure que la racine carrĂ©e de đ‘„ est prĂ©pondĂ©rante devant le logarithme naturel de đ‘„.

Comme nous l’avons vu dans cet exemple, la rĂšgle de L’HĂŽpital peut ĂȘtre utile pour montrer presque tout ce qui implique une limite, puisqu’elle nous permet de dĂ©terminer des limites qui seraient autrement indĂ©finies. Nous avons maintenant vu une variĂ©tĂ© d’exemples impliquant la rĂšgle de L’HĂŽpital. Regardons quelques points clĂ©s de la vidĂ©o. Points clĂ©s. La rĂšgle de L’HĂŽpital peut ĂȘtre utilisĂ©e pour dĂ©terminer les limites dans les cas d’indĂ©termination zĂ©ro sur zĂ©ro, plus l’infini sur plus l’infini et moins l’infini sur moins l’infini. La rĂšgle de L’HĂŽpital est la suivante. Supposons que la limite lorsque đ‘„ tend vers 𝑎 de 𝑓 de đ‘„ sur 𝑔 de đ‘„ Ă©gale zĂ©ro sur zĂ©ro. Ou la limite lorsque đ‘„ tend vers 𝑎 de 𝑓 de đ‘„ sur 𝑔 de đ‘„ Ă©gale plus l’infini ou moins l’infini sur plus l’infini ou moins l’infini. OĂč 𝑎 est un nombre rĂ©el quelconque, plus l’infini ou moins l’infini. Alors, la limite lorsque đ‘„ tend vers 𝑎 de 𝑓 de đ‘„ sur 𝑔 de đ‘„ est Ă©gale Ă  la limite lorsque đ‘„ tend vers 𝑎 de 𝑓 prime de đ‘„ sur 𝑔 prime de đ‘„.

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